Les médias chypriotes ont indiqué, mardi, que «271 migrants, principalement des Syriens, sont arrivés sur l’île de Chypre à bord de cinq bateaux partis des côtes libanaises».
Selon l’agence North Press, «les autorités chypriotes ont interpellé, lundi, quatre personnes soupçonnées d’avoir fait entrer clandestinement, la veille (dimanche), les 271 migrants illégaux, principalement des Syriens, à bord de cinq bateaux en provenance du Liban».
Avec des conditions météorologiques plus favorables en ce début de printemps, ces tentatives d’immigration clandestines vont devenir de plus en plus fréquentes.
D’ailleurs, cette nouvelle immigration clandestine survient à peine 48h après qu’un bateau de migrants illégaux a été remorqué, samedi, par les forces navales libanaises, au large de la côte de Minieh au nord. Il comprenait quelque 70 migrants, une majorité de ressortissants syriens, y compris des femmes et des enfants, qui tentaient de quitter illégalement le Liban.
Avec la crise économique et financière qui perdure depuis 2019 au Liban, les tentatives de migration clandestine via la mer, en particulier de Syriens est devenue monnaie courante. Elle pose toutefois un réel problème démographique, économique, social et sécuritaire tant aux autorités libanaises que chypriotes.
Dans ce contexte, les autorités chypriotes s’étaient inquiétées, le 16 septembre 2023, du nombre croissant de Syriens au Liban et sur l’île. Elles avaient d’ailleurs demandé à l’Union européenne (UE) de réévaluer la situation sécuritaire de la Syrie et de réexaminer le statut de la Syrie comme «État non sécurisé», statut qui empêche le retour des déplacés syriens dans leur pays.
Le ministre chypriote de l’Intérieur, Konstantínos Ioánnou, avait estimé, dans une lettre adressée à la vice-présidente de la Commission européenne, Margrethe Vestager, que le sort de Chypre était lié à celui du Liban, surtout avec «l’accroissement récent du nombre de déplacés au Liban». Et d’ajouter: «Le Liban est un barrage. S’il s’effondre, toute l’Europe sera confrontée à un problème.»
Selon l’agence North Press, «les autorités chypriotes ont interpellé, lundi, quatre personnes soupçonnées d’avoir fait entrer clandestinement, la veille (dimanche), les 271 migrants illégaux, principalement des Syriens, à bord de cinq bateaux en provenance du Liban».
Avec des conditions météorologiques plus favorables en ce début de printemps, ces tentatives d’immigration clandestines vont devenir de plus en plus fréquentes.
D’ailleurs, cette nouvelle immigration clandestine survient à peine 48h après qu’un bateau de migrants illégaux a été remorqué, samedi, par les forces navales libanaises, au large de la côte de Minieh au nord. Il comprenait quelque 70 migrants, une majorité de ressortissants syriens, y compris des femmes et des enfants, qui tentaient de quitter illégalement le Liban.
Avec la crise économique et financière qui perdure depuis 2019 au Liban, les tentatives de migration clandestine via la mer, en particulier de Syriens est devenue monnaie courante. Elle pose toutefois un réel problème démographique, économique, social et sécuritaire tant aux autorités libanaises que chypriotes.
Dans ce contexte, les autorités chypriotes s’étaient inquiétées, le 16 septembre 2023, du nombre croissant de Syriens au Liban et sur l’île. Elles avaient d’ailleurs demandé à l’Union européenne (UE) de réévaluer la situation sécuritaire de la Syrie et de réexaminer le statut de la Syrie comme «État non sécurisé», statut qui empêche le retour des déplacés syriens dans leur pays.
Le ministre chypriote de l’Intérieur, Konstantínos Ioánnou, avait estimé, dans une lettre adressée à la vice-présidente de la Commission européenne, Margrethe Vestager, que le sort de Chypre était lié à celui du Liban, surtout avec «l’accroissement récent du nombre de déplacés au Liban». Et d’ajouter: «Le Liban est un barrage. S’il s’effondre, toute l’Europe sera confrontée à un problème.»
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