Sethrida Geagea, députée des Forces libanaises (FL), a mis en garde, lundi, contre la présence syrienne illégale massive au Liban.
«La présence syrienne crée un problème majeur au Liban et constitue un fardeau que notre économie ne peut supporter. Le pays ne peut plus les supporter», a-t-elle martelé lors d’une réunion tenue avec le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, au siège du ministère.
Dans ce cadre, Mme Geagea a soulevé l’enjeu du meurtre de Pascal Sleiman, coordinateur des Forces libanaises à Jbeil, le qualifiant de «crime politique jusqu’à preuve du contraire», notant que «l’enquête n’est pas encore terminée».
Elle a alors appelé M. Maoulaoui à «généraliser les décrets déjà appliqués à Bcharré auprès de tous les présidents des conseils municipaux», soulignant qu’il s’agit du «caza où le nombre de Syriens est le plus faible».
Selon elle, une stricte application des décrets ministériels déjà émis à cet effet, permettrait de «rapatrier les déplacés dans les zones sûres en Syrie».
«La présence syrienne crée un problème majeur au Liban et constitue un fardeau que notre économie ne peut supporter. Le pays ne peut plus les supporter», a-t-elle martelé lors d’une réunion tenue avec le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, au siège du ministère.
Dans ce cadre, Mme Geagea a soulevé l’enjeu du meurtre de Pascal Sleiman, coordinateur des Forces libanaises à Jbeil, le qualifiant de «crime politique jusqu’à preuve du contraire», notant que «l’enquête n’est pas encore terminée».
Elle a alors appelé M. Maoulaoui à «généraliser les décrets déjà appliqués à Bcharré auprès de tous les présidents des conseils municipaux», soulignant qu’il s’agit du «caza où le nombre de Syriens est le plus faible».
Selon elle, une stricte application des décrets ministériels déjà émis à cet effet, permettrait de «rapatrier les déplacés dans les zones sûres en Syrie».
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