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- Israël a éliminé le combattant du Hezbollah qui a abattu le drone Hermes 450
Selon des informations obtenues par Ici Beyrouth de milieux politiques des forces du 8 Mars, Abou Ali, le combattant du Hezbollah, tué mardi dernier à Adloun dans le caza de Tyr, par les Israéliens, est celui qui a abattu le drone Hermes 450 le 21 avril.
Depuis le 8 octobre dernier, l'armée israélienne compterait fortement sur ces drones Hermes 450 qui ne cessent de survoler le pays du Cèdre.
Selon l’agence Markazia, «les capacités du Hezbollah à contrer les drones ont surpris la partie israélienne, qui a depuis reconsidéré leur utilisation».
Pour rappel, le Hezbollah avait annoncé avoir abattu un drone israélien à charge multiple, de type Hermes 450, moyennant un missile sol-air. L’attaque avait été revendiquée, dimanche 21 avril, par la formation pro-iranienne qui a précisé que le drone était fabriqué par la société Elbit Systems. De son côté, le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, avait affirmé que «le drone est tombé en territoire libanais» et qu’une «enquête a été ouverte».
D’ailleurs ce n’était pas la première fois que la formation pro-iranienne abattait un tel appareil depuis le début des affrontements à la frontière, puisque le 26 février, un autre avait été détruit en vol par des moyens similaires. En outre, un modèle plus récent, le Hermes 900, a été abattu au-dessus de la région de Baalbeck le 7 avril.
Depuis le 8 octobre dernier, l'armée israélienne compterait fortement sur ces drones Hermes 450 qui ne cessent de survoler le pays du Cèdre.
Selon l’agence Markazia, «les capacités du Hezbollah à contrer les drones ont surpris la partie israélienne, qui a depuis reconsidéré leur utilisation».
Pour rappel, le Hezbollah avait annoncé avoir abattu un drone israélien à charge multiple, de type Hermes 450, moyennant un missile sol-air. L’attaque avait été revendiquée, dimanche 21 avril, par la formation pro-iranienne qui a précisé que le drone était fabriqué par la société Elbit Systems. De son côté, le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, avait affirmé que «le drone est tombé en territoire libanais» et qu’une «enquête a été ouverte».
D’ailleurs ce n’était pas la première fois que la formation pro-iranienne abattait un tel appareil depuis le début des affrontements à la frontière, puisque le 26 février, un autre avait été détruit en vol par des moyens similaires. En outre, un modèle plus récent, le Hermes 900, a été abattu au-dessus de la région de Baalbeck le 7 avril.
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