Le leader des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a affirmé que son parti «poursuivra ses efforts jusqu'à ce que le dernier migrant illégal soit expulsé du Liban».
Dans un communiqué publié lundi, il a fermement réitéré son refus de la présence illégale de Syriens au Liban, estimant que la position de son parti est une position «de principe, souveraine et pérenne» qui ne varie pas «en fonction de la donation d’un milliard ou de dizaines de milliards d’euros», en référence à la donation récente de l’Union européenne au Liban.
«Nous maintiendrons nos efforts sans être influencés par les souhaits internationaux ou les milliards de l'ONU. Pour nous, rien n'est plus important que l'identité, la souveraineté et la sécurité du Liban», a aussi défendu M. Geagea.
Le leader des FL a également estimé que «tout ce qui est illégal ne peut pas se poursuivre sur le sol libanais», restant très ferme sur ses positions. réaffirmant fermement sa position. La seule question sujette à débat concerne les mesures qui permettent de «faciliter l'expulsion des personnes présentes illégalement au Liban.
«Après avoir constaté que ceux qui ont gouverné pendant des années n'ont pas assumé leurs responsabilités et n'ont pris aucune mesure pratique en dehors de la surenchère politique, nous avons entrepris une série d'actions sur le terrain avec les municipalités, les départements et les ministères concernés», a-t-il aussi rappelé.
C'est dans ce contexte, qu'une délégation du bloc parlementaire des FL, dirigée par la députée Sethrida Geagea, a rendu visite lundi au commandant en chef de l'armée, le général Joseph Aoun, et a abordé avec lui les répercussions sécuritaires, économiques et sociales résultant de la présence illégale des Syriens sur le sol libanais.
Dans un communiqué publié lundi, il a fermement réitéré son refus de la présence illégale de Syriens au Liban, estimant que la position de son parti est une position «de principe, souveraine et pérenne» qui ne varie pas «en fonction de la donation d’un milliard ou de dizaines de milliards d’euros», en référence à la donation récente de l’Union européenne au Liban.
«Nous maintiendrons nos efforts sans être influencés par les souhaits internationaux ou les milliards de l'ONU. Pour nous, rien n'est plus important que l'identité, la souveraineté et la sécurité du Liban», a aussi défendu M. Geagea.
Le leader des FL a également estimé que «tout ce qui est illégal ne peut pas se poursuivre sur le sol libanais», restant très ferme sur ses positions. réaffirmant fermement sa position. La seule question sujette à débat concerne les mesures qui permettent de «faciliter l'expulsion des personnes présentes illégalement au Liban.
«Après avoir constaté que ceux qui ont gouverné pendant des années n'ont pas assumé leurs responsabilités et n'ont pris aucune mesure pratique en dehors de la surenchère politique, nous avons entrepris une série d'actions sur le terrain avec les municipalités, les départements et les ministères concernés», a-t-il aussi rappelé.
C'est dans ce contexte, qu'une délégation du bloc parlementaire des FL, dirigée par la députée Sethrida Geagea, a rendu visite lundi au commandant en chef de l'armée, le général Joseph Aoun, et a abordé avec lui les répercussions sécuritaires, économiques et sociales résultant de la présence illégale des Syriens sur le sol libanais.
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