L’Association des familles des victimes de l’explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020 et la campagne «Les silos et la ville» ont soumis une note au directeur de la Banque mondiale (BM) pour le Moyen-Orient, Jean-Christophe Carette, réclamant une intervention d’urgence pour préserver les silos du port de Beyrouth.
Cette démarche constitue une réaction au plan de reconstruction du port de Beyrouth, annoncé lors d’une conférence de presse, le 13 mars 2024.
«Ce plan majeur, conçu par la Banque mondiale et présenté au public, ne prévoit pas la préservation des silos», peut-on lire dans le texte, daté du 2 mai 2024. Par conséquent, les deux associations exhortent la BM d’«inclure ce site dans les plans de réaménagement du port, non seulement en tant que site patrimonial, mais aussi en tant que lieu de deuil et de mémoire collective pour les générations futures».
Dans ce contexte, les deux associations soulignent avoir vainement tenté, à maintes reprises, entre septembre 2022 et septembre 2023, d’entrer en contact avec le bureau de Beyrouth de la BM. Mais leurs démarches ont été ignorées par les directeurs du projet.
Les deux associations ont déploré cette indifférence, d’autant que la Banque mondiale est censée être engagée en faveur de la réforme au Liban. Dans le même sens, elles ont déploré le fait que les responsables à la BM aient ignoré un don octroyé par le Koweït, d’une valeur de 30 à 40 millions de dollars, qui aurait pu être utilisé à cette fin, selon le texte.
Cette démarche constitue une réaction au plan de reconstruction du port de Beyrouth, annoncé lors d’une conférence de presse, le 13 mars 2024.
«Ce plan majeur, conçu par la Banque mondiale et présenté au public, ne prévoit pas la préservation des silos», peut-on lire dans le texte, daté du 2 mai 2024. Par conséquent, les deux associations exhortent la BM d’«inclure ce site dans les plans de réaménagement du port, non seulement en tant que site patrimonial, mais aussi en tant que lieu de deuil et de mémoire collective pour les générations futures».
Dans ce contexte, les deux associations soulignent avoir vainement tenté, à maintes reprises, entre septembre 2022 et septembre 2023, d’entrer en contact avec le bureau de Beyrouth de la BM. Mais leurs démarches ont été ignorées par les directeurs du projet.
Les deux associations ont déploré cette indifférence, d’autant que la Banque mondiale est censée être engagée en faveur de la réforme au Liban. Dans le même sens, elles ont déploré le fait que les responsables à la BM aient ignoré un don octroyé par le Koweït, d’une valeur de 30 à 40 millions de dollars, qui aurait pu être utilisé à cette fin, selon le texte.
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