Le Parlement iranien a approuvé un projet de loi visant à prolonger le week-end à deux jours, le vendredi et le samedi, excluant le jeudi qui est partiellement chômé actuellement.
Si le texte est approuvé par le Conseil des gardiens, chargé de la conformité des lois, la durée légale de travail hebdomadaire passera de 44 à 40 heures, a rapporté mercredi l'agence officielle Irna.
Le projet de loi présenté par le gouvernement a été adopté par 136 députés, tandis que 66 ont voté contre, après des mois de débat sur le choix des deux jours du week-end.
Actuellement, le vendredi est le seul jour de congé hebdomadaire, tandis que le jeudi est considéré comme un jour de travail à temps partiel, souvent le matin.
En choisissant le samedi au lieu du jeudi, l'Iran se rapproche de la plupart des pays à majorité musulmane du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord.
Ces derniers mois, des économistes avaient mis en garde contre le choix d'un week-end comprenant le jeudi, ce qui aurait pesé sur les échanges entre les entreprises iraniennes et étrangères, limités à trois jours (lundi, mardi et mercredi) par semaine.
Certains religieux avaient exprimé leur opposition au choix du samedi, pour ne pas imiter les pays de tradition chrétienne et juive.
Toutefois, un député a souligné mercredi qu'un haut responsable du clergé chiite, l'ayatollah Javadi Amoli, n'avait pas soulevé d'objection religieuse au choix du samedi.
Avec AFP
Si le texte est approuvé par le Conseil des gardiens, chargé de la conformité des lois, la durée légale de travail hebdomadaire passera de 44 à 40 heures, a rapporté mercredi l'agence officielle Irna.
Le projet de loi présenté par le gouvernement a été adopté par 136 députés, tandis que 66 ont voté contre, après des mois de débat sur le choix des deux jours du week-end.
Actuellement, le vendredi est le seul jour de congé hebdomadaire, tandis que le jeudi est considéré comme un jour de travail à temps partiel, souvent le matin.
En choisissant le samedi au lieu du jeudi, l'Iran se rapproche de la plupart des pays à majorité musulmane du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord.
Ces derniers mois, des économistes avaient mis en garde contre le choix d'un week-end comprenant le jeudi, ce qui aurait pesé sur les échanges entre les entreprises iraniennes et étrangères, limités à trois jours (lundi, mardi et mercredi) par semaine.
Certains religieux avaient exprimé leur opposition au choix du samedi, pour ne pas imiter les pays de tradition chrétienne et juive.
Toutefois, un député a souligné mercredi qu'un haut responsable du clergé chiite, l'ayatollah Javadi Amoli, n'avait pas soulevé d'objection religieuse au choix du samedi.
Avec AFP
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