Le Liban prévoit de lancer un projet de pisciculture et de développement des poissons marins et fluviaux dans la seconde moitié de juin, a annoncé vendredi le ministre sortant de l'Agriculture, Abbas Hajj Hassan, dans une interview à Radio Liban. Il a expliqué que sa récente visite au Caire visait à surmonter les obstacles relatifs aux exportations vers l'Égypte et à se renseigner sur le secteur égyptien de la pisciculture et ses mécanismes modernisés.
Il a souligné l'importance du secteur de la pêche, en indiquant que 45.000 familles y travaillent sans soutien depuis longtemps. De plus, une étude menée en collaboration avec la FAO et des experts turcs a confirmé la présence de 400 espèces de poissons dans les eaux territoriales libanaises, offrant ainsi un potentiel commercial prometteur. Actuellement, le Liban importe 85% de sa consommation de poisson, mais M. Hajj Hassan estime qu'en deux ans, le pays pourrait atteindre une certaine autosuffisance dans ce domaine. Il a également précisé que le secteur privé était invité à investir, que ce soit dans la pêche fluviale ou marine.
Par ailleurs, le ministre de l'Agriculture a expliqué avoir travaillé avec le ministre du Travail, Moustafa Bayram, pour «développer un mécanisme de réglementation des travailleurs syriens du secteur agricole, à la lumière de la situation actuelle». Il a déclaré: «Si les producteurs de pommes de terre ou d'autres secteurs ont besoin de travailleurs, nous mettrons en place un mécanisme clair et précis en partenariat avec le ministère du Travail et l'Organisation internationale du Travail.»
M. Hajj Hassan a confirmé que les dégâts causés par les bombardements israéliens au Liban-Sud sont considérables. Il a expliqué que le ministère a mis en place des comités en collaboration avec le Conseil du sud pour effectuer des inspections sur le terrain et évaluer les dégâts. «Le secteur agricole est une priorité pour le ministère», ,a-t-il indiqué, précisant que les dommages subis par les agriculteurs seront évalués afin d'établir un mécanisme d'indemnisation.
Il a souligné l'importance du secteur de la pêche, en indiquant que 45.000 familles y travaillent sans soutien depuis longtemps. De plus, une étude menée en collaboration avec la FAO et des experts turcs a confirmé la présence de 400 espèces de poissons dans les eaux territoriales libanaises, offrant ainsi un potentiel commercial prometteur. Actuellement, le Liban importe 85% de sa consommation de poisson, mais M. Hajj Hassan estime qu'en deux ans, le pays pourrait atteindre une certaine autosuffisance dans ce domaine. Il a également précisé que le secteur privé était invité à investir, que ce soit dans la pêche fluviale ou marine.
Par ailleurs, le ministre de l'Agriculture a expliqué avoir travaillé avec le ministre du Travail, Moustafa Bayram, pour «développer un mécanisme de réglementation des travailleurs syriens du secteur agricole, à la lumière de la situation actuelle». Il a déclaré: «Si les producteurs de pommes de terre ou d'autres secteurs ont besoin de travailleurs, nous mettrons en place un mécanisme clair et précis en partenariat avec le ministère du Travail et l'Organisation internationale du Travail.»
M. Hajj Hassan a confirmé que les dégâts causés par les bombardements israéliens au Liban-Sud sont considérables. Il a expliqué que le ministère a mis en place des comités en collaboration avec le Conseil du sud pour effectuer des inspections sur le terrain et évaluer les dégâts. «Le secteur agricole est une priorité pour le ministère», ,a-t-il indiqué, précisant que les dommages subis par les agriculteurs seront évalués afin d'établir un mécanisme d'indemnisation.
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