Les députés de l'opposition ont annoncé qu’ils étaient «réceptifs à toute initiative» visant à débloquer l'élection présidentielle. Dans un communiqué publié lundi, en soirée, les députés de l’opposition ont affirmé qu’ils étaient «prêts à se concerter avec le bloc du Parti socialiste progressiste, mais également avec le Courant patriotique libre qui avait opté pour le choix d’un candidat centriste» en allusion à l’ancien ministre Jihad Azour, pour lequel l’opposition et le CPL avaient voté lors de la séance du 14 juin 2023.
Ce communiqué a été publié au terme d’une rencontre à Saifi, entre les députés de l’opposition et des délégations du PSP et du CPL. Ces derniers se mobilisent actuellement auprès de différents blocs pour tenter de paver la voie à un déblocage de l'élection présidentielle.
«Ces consultations, telles qu'elles sont perçues par les députés de l'opposition, constituent en elles-mêmes un modèle pour la consultation requise. Celle-ci vise à rapprocher les points de vue entre les partis», peut-on lire dans le communiqué. Les députés de l’opposition ont toutefois exprimé leur «refus que ces concertations se transforment en stratagèmes visant à violer la Constitution et à contourner les initiatives du groupe des Cinq (États-Unis, France, Qatar, Arabie saoudite, Égypte)». Il y est également mentionné que «ces manœuvres, répétées lors des élections précédentes (par la moumaanaa axe pro-Hezbollah), ont conduit à l'effondrement auquel nous assistons aujourd'hui».
Les députés souverainistes ont ainsi réitéré leur «ouverture à des consultations limitées dans le temps, telles qu'elles se déroulent actuellement, sans consécration de nouvelles normes qui violent les principes constitutionnels et sans aucune condition, en particulier concernant l'imposition d'un candidat, afin que l'autre partie soit convaincue d'ouvrir les portes du Parlement pour une session ouverte d'élection du président de la République ».
Ce communiqué a été publié au terme d’une rencontre à Saifi, entre les députés de l’opposition et des délégations du PSP et du CPL. Ces derniers se mobilisent actuellement auprès de différents blocs pour tenter de paver la voie à un déblocage de l'élection présidentielle.
«Ces consultations, telles qu'elles sont perçues par les députés de l'opposition, constituent en elles-mêmes un modèle pour la consultation requise. Celle-ci vise à rapprocher les points de vue entre les partis», peut-on lire dans le communiqué. Les députés de l’opposition ont toutefois exprimé leur «refus que ces concertations se transforment en stratagèmes visant à violer la Constitution et à contourner les initiatives du groupe des Cinq (États-Unis, France, Qatar, Arabie saoudite, Égypte)». Il y est également mentionné que «ces manœuvres, répétées lors des élections précédentes (par la moumaanaa axe pro-Hezbollah), ont conduit à l'effondrement auquel nous assistons aujourd'hui».
Les députés souverainistes ont ainsi réitéré leur «ouverture à des consultations limitées dans le temps, telles qu'elles se déroulent actuellement, sans consécration de nouvelles normes qui violent les principes constitutionnels et sans aucune condition, en particulier concernant l'imposition d'un candidat, afin que l'autre partie soit convaincue d'ouvrir les portes du Parlement pour une session ouverte d'élection du président de la République ».
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