Plusieurs ministres européens des Affaires étrangères (AE) ont exprimé, lundi, leur sérieuse préoccupation à l’égard de la situation au Moyen-Orient, notamment à Gaza et à la frontière libano-israélienne.
La ministre allemande des AE, Annalena Baerbock, a annoncé qu’elle se rendrait au Liban dans la semaine en cours, soulignant que «la situation à la frontière avec Israël est plus que préoccupante».
La tournée de Mme Baerbock au Moyen-Orient devrait commencer lundi à Tel Aviv, puis se poursuivrait mardi par un entretien avec le Premier ministre palestinien, Mohammad Moustafa, à Ramallah, en Cisjordanie. Elle devrait se terminer à Beyrouth où l’ambassadrice aura des discussions avec les responsables libanais.
Pour sa part, le ministre grec des AE, Nikos Dendias, a souligné qu’il est «inacceptable que le Hezbollah lance des menaces contre Chypre, un État souverain de l’Union européenne (UE)», affirmant la solidarité de l’UE avec Nicosie «face aux menaces des organisations terroristes». Mercredi dernier, lors d’un discours télévisé, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait évoqué «des opérations menées par l’armée israélienne à Chypre» et n’a pas hésité à menacer de considérer l’île comme «partie prenante de la guerre si elle mettait ses aéroports et ses infrastructures à la disposition d’Israël».
Par ailleurs, le ministre italien des AE, Antonio Tajani, a exprimé le souhait que «Washington présente un plan garantissant une zone tampon entre le Liban et Israël», lors d’un entretien accordé au média Al-Hadath.
De son côté, le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, a indiqué que «le risque d’extension de la guerre de Gaza au Liban augmente chaque jour».
Ces déclarations ont été prononcées à la suite d’un Conseil des Affaires étrangères, tenu lundi matin à Luxembourg, réunissant les ministres des AE de l’Union européenne. La situation au Moyen-Orient faisait partie des principaux points à l’ordre du jour.
La ministre allemande des AE, Annalena Baerbock, a annoncé qu’elle se rendrait au Liban dans la semaine en cours, soulignant que «la situation à la frontière avec Israël est plus que préoccupante».
La tournée de Mme Baerbock au Moyen-Orient devrait commencer lundi à Tel Aviv, puis se poursuivrait mardi par un entretien avec le Premier ministre palestinien, Mohammad Moustafa, à Ramallah, en Cisjordanie. Elle devrait se terminer à Beyrouth où l’ambassadrice aura des discussions avec les responsables libanais.
Pour sa part, le ministre grec des AE, Nikos Dendias, a souligné qu’il est «inacceptable que le Hezbollah lance des menaces contre Chypre, un État souverain de l’Union européenne (UE)», affirmant la solidarité de l’UE avec Nicosie «face aux menaces des organisations terroristes». Mercredi dernier, lors d’un discours télévisé, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait évoqué «des opérations menées par l’armée israélienne à Chypre» et n’a pas hésité à menacer de considérer l’île comme «partie prenante de la guerre si elle mettait ses aéroports et ses infrastructures à la disposition d’Israël».
Par ailleurs, le ministre italien des AE, Antonio Tajani, a exprimé le souhait que «Washington présente un plan garantissant une zone tampon entre le Liban et Israël», lors d’un entretien accordé au média Al-Hadath.
De son côté, le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, a indiqué que «le risque d’extension de la guerre de Gaza au Liban augmente chaque jour».
Ces déclarations ont été prononcées à la suite d’un Conseil des Affaires étrangères, tenu lundi matin à Luxembourg, réunissant les ministres des AE de l’Union européenne. La situation au Moyen-Orient faisait partie des principaux points à l’ordre du jour.
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