Le Rassemblement national et ses alliés sont toujours donnés vainqueurs du second tour des élections législatives, dans deux sondages publiés vendredi, mais loin de la majorité absolue (289 sièges), avec 175 à 205 sièges selon Ipsos, 170 à 210 sièges, selon l'Ifop.
Selon Ipsos Talan pour Le Monde, Radio France et France Télévisions, le RN devance l'alliance de gauche Nouveau Front populaire, qui arrive en deuxième position avec 145 à 175 sièges (151 dans l'Assemblée dissoute), devant le bloc macroniste estimé entre 118 et 148 sièges (250).
Cette étude, comme celle de l'Ifop, semble dessiner un resserrement des scores des trois principaux blocs, après les nombreux désistements du NFP au profit de candidats macronistes et inversement, pour faire barrage au RN.
À gauche, dans le détail, cette étude Ipsos donne des fourchettes de 58 à 68 députés pour La France insoumise (75 sortants), 51 à 61 pour le PS (31 sortants), 29 à 37 pour les Écologistes (23) et 7 à 9 pour les communistes (12 sortants), auxquels s'ajoutent 14 à 16 divers gauche.
S'agissant du camp présidentiel, Renaissance sauverait 78 à 94 sièges (172 sortants), et ses alliés MoDem et Horizons conserveraient chacun leur groupe, avec respectivement 23 à 31 et 17 à 23 députés (respectivement 50 et 31 sortants).
Avec une fourchette comprise entre 57 et 67 sièges, Les Républicains parviendraient à maintenir leurs positions (62 sortants) dans la nouvelle Assemblée, malgré la défection du président du parti Eric Ciotti qui fait alliance avec le Rassemblement national. M. Ciotti et ses candidats glaneraient de 18 à 24 sièges, de quoi constituer potentiellement un groupe.
Toujours selon cette étude, les consignes de retrait émanant du Nouveau Front populaire semblent claires à 53% des sondés et celles du bloc présidentiel à 38%, alors que les macronistes se divisent sur l'inclusion ou pas de LFI dans le «front républicain».
Si le retrait de candidats du NFP, arrivé 3ᵉ dans des circonscriptions où le RN peut l'emporter, est massivement approuvé par ses propres électeurs (87%) et ceux de la coalition présidentielle (78%), il ne l'est qu'à 54% par l'ensemble de la population.
Ipsos estime la participation entre 66 et 70%. 66,7% des inscrits se sont rendus aux urnes dimanche dernier pour le premier tour.
Dans la dernière livraison quotidienne Ifop Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le RN et ses alliés obtiendraient de 170 à 210 sièges, devant le NFP (155 à 185 sièges) et le bloc présidentiel (120 à 150 sièges). Les LR totaliseraient entre 50 et 65 sièges et les divers gauche entre 10 et 18.
Chez l'Ifop, les résultats du RN sont en chute spectaculaire depuis 24 heures. L'étude publiée jeudi leur accordait de 210 à 240 sièges. Le NFP est en baisse (170 à 200 sièges jeudi), le camp présidentiel (95 à 125 sièges jeudi) et LR (25 à 45 sièges jeudi) sont en hausse.
Dans cette étude, la participation est en hausse d'un point par rapport à jeudi, à 69%.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.
Avec AFP
Selon Ipsos Talan pour Le Monde, Radio France et France Télévisions, le RN devance l'alliance de gauche Nouveau Front populaire, qui arrive en deuxième position avec 145 à 175 sièges (151 dans l'Assemblée dissoute), devant le bloc macroniste estimé entre 118 et 148 sièges (250).
Cette étude, comme celle de l'Ifop, semble dessiner un resserrement des scores des trois principaux blocs, après les nombreux désistements du NFP au profit de candidats macronistes et inversement, pour faire barrage au RN.
À gauche, dans le détail, cette étude Ipsos donne des fourchettes de 58 à 68 députés pour La France insoumise (75 sortants), 51 à 61 pour le PS (31 sortants), 29 à 37 pour les Écologistes (23) et 7 à 9 pour les communistes (12 sortants), auxquels s'ajoutent 14 à 16 divers gauche.
S'agissant du camp présidentiel, Renaissance sauverait 78 à 94 sièges (172 sortants), et ses alliés MoDem et Horizons conserveraient chacun leur groupe, avec respectivement 23 à 31 et 17 à 23 députés (respectivement 50 et 31 sortants).
Avec une fourchette comprise entre 57 et 67 sièges, Les Républicains parviendraient à maintenir leurs positions (62 sortants) dans la nouvelle Assemblée, malgré la défection du président du parti Eric Ciotti qui fait alliance avec le Rassemblement national. M. Ciotti et ses candidats glaneraient de 18 à 24 sièges, de quoi constituer potentiellement un groupe.
Toujours selon cette étude, les consignes de retrait émanant du Nouveau Front populaire semblent claires à 53% des sondés et celles du bloc présidentiel à 38%, alors que les macronistes se divisent sur l'inclusion ou pas de LFI dans le «front républicain».
Si le retrait de candidats du NFP, arrivé 3ᵉ dans des circonscriptions où le RN peut l'emporter, est massivement approuvé par ses propres électeurs (87%) et ceux de la coalition présidentielle (78%), il ne l'est qu'à 54% par l'ensemble de la population.
Ipsos estime la participation entre 66 et 70%. 66,7% des inscrits se sont rendus aux urnes dimanche dernier pour le premier tour.
Dans la dernière livraison quotidienne Ifop Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le RN et ses alliés obtiendraient de 170 à 210 sièges, devant le NFP (155 à 185 sièges) et le bloc présidentiel (120 à 150 sièges). Les LR totaliseraient entre 50 et 65 sièges et les divers gauche entre 10 et 18.
Chez l'Ifop, les résultats du RN sont en chute spectaculaire depuis 24 heures. L'étude publiée jeudi leur accordait de 210 à 240 sièges. Le NFP est en baisse (170 à 200 sièges jeudi), le camp présidentiel (95 à 125 sièges jeudi) et LR (25 à 45 sièges jeudi) sont en hausse.
Dans cette étude, la participation est en hausse d'un point par rapport à jeudi, à 69%.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.
Avec AFP
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