Le porte-parole de la Finul, Andrea Tenenti, a confirmé que «la Finul poursuivait son travail et ses activités, en coordination avec les autorités libanaises, y compris les patrouilles conjointes avec les Forces armées libanaises» et que «rien n'avait changé», a-t-il expliqué, dimanche, dans un communiqué.
«Nous sommes déterminés à travailler en étroite collaboration avec l'armée libanaise pour désamorcer les situations et minimiser les tensions sur le terrain», a ajouté M. Tenenti.
Cette clarification fait suite à un différend survenu entre l'armée libanaise et les forces françaises lors d'une patrouille conjointe à Kfar Hammam. Lorsque la patrouille française a changé d'itinéraire, l'officier libanais s'y est opposé. La patrouille a alors rebroussé chemin et poursuivi selon l'itinéraire prédéterminé.
Quelques minutes plus tard, un drone israélien a pris pour cible l'endroit où se trouvait la patrouille française, ce qui a créé une grande confusion. Les remous sont parvenus au commandant en chef de l'armée libanaise, le général Joseph Aoun, qui s'est alors opposé à l’action des forces françaises.
Ce n'est pas la première fois qu’un tel incident se produit. Déjà, il y a trois mois, les Français avaient fait la même chose à Aïta el-Chaab, et, après qu'ils eurent rebroussé chemin, un drone israélien avait attaqué une plate-forme de missiles du Hezbollah.
«Nous sommes déterminés à travailler en étroite collaboration avec l'armée libanaise pour désamorcer les situations et minimiser les tensions sur le terrain», a ajouté M. Tenenti.
Cette clarification fait suite à un différend survenu entre l'armée libanaise et les forces françaises lors d'une patrouille conjointe à Kfar Hammam. Lorsque la patrouille française a changé d'itinéraire, l'officier libanais s'y est opposé. La patrouille a alors rebroussé chemin et poursuivi selon l'itinéraire prédéterminé.
Quelques minutes plus tard, un drone israélien a pris pour cible l'endroit où se trouvait la patrouille française, ce qui a créé une grande confusion. Les remous sont parvenus au commandant en chef de l'armée libanaise, le général Joseph Aoun, qui s'est alors opposé à l’action des forces françaises.
Ce n'est pas la première fois qu’un tel incident se produit. Déjà, il y a trois mois, les Français avaient fait la même chose à Aïta el-Chaab, et, après qu'ils eurent rebroussé chemin, un drone israélien avait attaqué une plate-forme de missiles du Hezbollah.
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