Au lendemain du décès de l’ancien Premier ministre libanais Salim Hoss, à l’âge de 94 ans, de nombreuses personnalités politiques lui ont rendu hommage. Elles ont notamment salué son patriotisme, son arabisme et surtout son intégrité.
Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, l’a décrit comme un «grand homme du pays du Cèdre, qui ne ressemblait à personne d'autre que lui-même». Il a également salué son parcours de «self-made man», le qualifiant de modèle et de conscience du Liban, ainsi que de défendant de la cause palestinienne.
Pour le chef du Parlement, Nabih Berry, l’ancien Premier ministre Salim Hoss «est l'un des rares à avoir contribué à la construction de l'histoire moderne du Liban».
À son tour, le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, a rendu hommage à «un homme d’État qui a toujours placé l’intérêt du pays au-dessus de toute autre considération».
Le député et secrétaire général du parti Tachnag, Hagop Pakradounian, a déclaré qu'«avec la mort de M. Hoss, c’est la conscience du Liban qui s'est éteinte», le qualifiant de «pacifiste et d'interlocuteur à l'époque des barricades».
Dans un communiqué, le Courant patriotique libre a salué «la probité» de M. Hoss, un homme qui prônait «le dialogue et qui luttait contre la corruption».
Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, l’a décrit comme un «grand homme du pays du Cèdre, qui ne ressemblait à personne d'autre que lui-même». Il a également salué son parcours de «self-made man», le qualifiant de modèle et de conscience du Liban, ainsi que de défendant de la cause palestinienne.
Pour le chef du Parlement, Nabih Berry, l’ancien Premier ministre Salim Hoss «est l'un des rares à avoir contribué à la construction de l'histoire moderne du Liban».
À son tour, le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, a rendu hommage à «un homme d’État qui a toujours placé l’intérêt du pays au-dessus de toute autre considération».
Le député et secrétaire général du parti Tachnag, Hagop Pakradounian, a déclaré qu'«avec la mort de M. Hoss, c’est la conscience du Liban qui s'est éteinte», le qualifiant de «pacifiste et d'interlocuteur à l'époque des barricades».
Dans un communiqué, le Courant patriotique libre a salué «la probité» de M. Hoss, un homme qui prônait «le dialogue et qui luttait contre la corruption».
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