Après plusieurs années de déclin, le Safa SC entame la nouvelle saison avec une ambition affichée: reconquérir le titre de champion. Avec un effectif renforcé et une préparation millimétrée, le club historique se positionne comme un prétendant sérieux dans la lutte pour le sacre.
Surnommé «le doyen» des clubs libanais, le Safa SC entame cette saison avec une mission claire: mettre fin à une longue disette et brandir de nouveau le trophée de champion. Après une dernière saison marquée par un net redressement, le club de Beyrouth semble prêt à tourner définitivement la page des années difficiles.
L’entraîneur Bilal Fleifel n’a pas caché ses ambitions à la presse: «Cette année, notre préparation a été excellente sur tous les plans: technique, physique et tactique. Nous avons mis l’accent sur la cohésion de groupe et renforcé chaque ligne de l’équipe».
Les noms des recrues parlent d’eux-mêmes. Mustafa Matar et Ali Hallal assureront la sécurité dans les cages, tandis que Khalil Khamis et Hussein Zein apporteront leur expérience en défense. À cela s’ajoute le recrutement de talents étrangers comme le Palestinien Islam Al-Batran et le Tunisien Hossam al-Lwati, tous deux attendus pour dynamiser l’attaque. Fleifel a également promu de jeunes espoirs, dont le gardien prodige Christian Aoukar et le prometteur Karim Jaafar, nés en 2007. Le message est clair: Safa entre dans la bataille pour le titre avec des armes solides.
La stratégie des transferts: miser sur l’expérience
Concernant les joueurs étrangers, Fleifel explique que le club a misé sur l'expérience et l’adaptation rapide: «Nous avons choisi des joueurs capables de s’intégrer facilement à notre système. Ils doivent combler les lacunes et renforcer nos points faibles». Pour lui, l’importance d’un joueur étranger réside dans sa capacité à s’adapter aux réalités locales, tout en apportant une valeur ajoutée.
Bien qu’il reconnaisse l’apport potentiel des entraîneurs étrangers, Fleifel souligne l’importance des entraîneurs locaux dans le contexte libanais: «Les entraîneurs locaux comprennent mieux la mentalité des joueurs et sont souvent plus adaptés à nos réalités. Malheureusement, certaines administrations ne leur font pas assez confiance».
Il milite pour une plus grande cohésion entre les entraîneurs, les clubs et les supporters, soulignant que la réussite des coachs locaux pourrait renforcer le football national.
Une lutte traditionnelle pour le titre
Selon Fleifel, le championnat sera dominé par les habitués du haut de tableau: Nejmeh, Ansar, Al-Ahed et, bien sûr, Safa. Ces clubs historiques, soutenus par des bases de fans passionnés, ont l'expérience des grands rendez-vous. «La lutte sera rude, mais Safa est prêt à jouer les premiers rôles», affirme l'entraîneur.
Un appel à revenir au gazon naturel
Outre les ambitions de titre, Fleifel a également partagé ses préoccupations concernant les infrastructures. Il déplore l’usage répandu des terrains synthétiques, qu’il estime dangereux pour la santé des joueurs: «Les terrains en gazon naturel réduisent les risques de blessures. Il est essentiel que les responsables sportifs investissent dans des installations de qualité».
Pour finir, l’entraîneur a évoqué le système des six équipes, une formule qui, selon lui, mettra à l’épreuve la persévérance des clubs. «Ce sera un test de résistance pour tous, mais un test nécessaire», a-t-il conclu, prêt à relever tous les défis pour mener Safa au sommet du football libanais.
Surnommé «le doyen» des clubs libanais, le Safa SC entame cette saison avec une mission claire: mettre fin à une longue disette et brandir de nouveau le trophée de champion. Après une dernière saison marquée par un net redressement, le club de Beyrouth semble prêt à tourner définitivement la page des années difficiles.
L’entraîneur Bilal Fleifel n’a pas caché ses ambitions à la presse: «Cette année, notre préparation a été excellente sur tous les plans: technique, physique et tactique. Nous avons mis l’accent sur la cohésion de groupe et renforcé chaque ligne de l’équipe».
Les noms des recrues parlent d’eux-mêmes. Mustafa Matar et Ali Hallal assureront la sécurité dans les cages, tandis que Khalil Khamis et Hussein Zein apporteront leur expérience en défense. À cela s’ajoute le recrutement de talents étrangers comme le Palestinien Islam Al-Batran et le Tunisien Hossam al-Lwati, tous deux attendus pour dynamiser l’attaque. Fleifel a également promu de jeunes espoirs, dont le gardien prodige Christian Aoukar et le prometteur Karim Jaafar, nés en 2007. Le message est clair: Safa entre dans la bataille pour le titre avec des armes solides.
La stratégie des transferts: miser sur l’expérience
Concernant les joueurs étrangers, Fleifel explique que le club a misé sur l'expérience et l’adaptation rapide: «Nous avons choisi des joueurs capables de s’intégrer facilement à notre système. Ils doivent combler les lacunes et renforcer nos points faibles». Pour lui, l’importance d’un joueur étranger réside dans sa capacité à s’adapter aux réalités locales, tout en apportant une valeur ajoutée.
Bien qu’il reconnaisse l’apport potentiel des entraîneurs étrangers, Fleifel souligne l’importance des entraîneurs locaux dans le contexte libanais: «Les entraîneurs locaux comprennent mieux la mentalité des joueurs et sont souvent plus adaptés à nos réalités. Malheureusement, certaines administrations ne leur font pas assez confiance».
Il milite pour une plus grande cohésion entre les entraîneurs, les clubs et les supporters, soulignant que la réussite des coachs locaux pourrait renforcer le football national.
Une lutte traditionnelle pour le titre
Selon Fleifel, le championnat sera dominé par les habitués du haut de tableau: Nejmeh, Ansar, Al-Ahed et, bien sûr, Safa. Ces clubs historiques, soutenus par des bases de fans passionnés, ont l'expérience des grands rendez-vous. «La lutte sera rude, mais Safa est prêt à jouer les premiers rôles», affirme l'entraîneur.
Un appel à revenir au gazon naturel
Outre les ambitions de titre, Fleifel a également partagé ses préoccupations concernant les infrastructures. Il déplore l’usage répandu des terrains synthétiques, qu’il estime dangereux pour la santé des joueurs: «Les terrains en gazon naturel réduisent les risques de blessures. Il est essentiel que les responsables sportifs investissent dans des installations de qualité».
Pour finir, l’entraîneur a évoqué le système des six équipes, une formule qui, selon lui, mettra à l’épreuve la persévérance des clubs. «Ce sera un test de résistance pour tous, mais un test nécessaire», a-t-il conclu, prêt à relever tous les défis pour mener Safa au sommet du football libanais.
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