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- Israël annonce la mort de Nasrallah, le Hezb se terre dans son silence
L'armée israélienne a annoncé samedi à 11h, avoir réussi à liquider le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, ciblé dans une violente frappe aérienne alors qu'il présidait dans son QG souterrain, dans la banlieue sud de Beyrouth, une réunion du commandement de sa formation.
Sur son compte X, le porte-parole arabophone de l'armée israélienne, Avichay Adraee, a indiqué que Hassan Nasrallah et Ali Karaki, commandant du front sud, ont "tous deux été éliminés en même temps que d'autres chefs du Hezbollah".
Plus de douze heures après les frappes israéliennes massives sur la banlieue sud de Beyrouth, le Hezbollah ne s’était toujours pas prononcé sur le sort de son secrétaire général. Le numéro 2 des Pasdaran, Abbas Nilforushan, commandant des opérations, aurait été présent à cette réunion, selon des informations non confirmées.
Dans les médias israéliens, les rapports et les analyses se diversifiaient samedi matin, autour du sort de Hassan Nasrallah, sans pour autant trancher.
Selon des responsables israéliens cités par le quotidien israélien Yedioth Ahronot, «Nasrallah était présent au centre de commandement» visé vendredi soir. Le chef du Hezbollah, qui serait établi à Téhéran, aurait effectué une brève visite à Beyrouth, selon le Ynet.
Étant donné les bombes à haute puissance utilisées lors de cette attaque, «personne n'aurait pu survivre», avance un responsable israélien, toujours d’après Yedioth Ahronot.
L’analyse présentée par le quotidien israélien établit un parallèle avec une situation similaire à Gaza, lorsqu’en juillet dernier, Mohammad Deif, chef militaire du Hamas, avait été tué par une frappe puissante alors qu'il sortait d'un tunnel. Il a fallu plusieurs jours pour confirmer sa mort, alors que l'attaque avait visé un petit bâtiment en surface.
D’autres médias israéliens, tels que The Jerusalem Post et Times of Israel, ont rapporté des informations similaires, citant des responsables israéliens, selon qui il est «très difficile d'imaginer qu'il (Nasrallah) puisse sortir vivant d'une telle frappe».
Interrogé sur le sort des cadres du Hezbollah visés dans les frappes de vendredi, le porte-parole de l’armée israélienne, Daniel Hagari, a affirmé que les détails seront annoncés une fois l’enquête terminée, alors que les médias israéliens faisaient état de "preuves détenus par les services de sécurité israéliens sur la mort du chef du Hezbollah.
Lors d’un point de presse donné dans les minutes qui ont suivi l’attaque, M. Hagari a décrit l’opération sans pour autant mentionner le chef de la formation.
Le Hezbollah gardait toujours le silence, samedi matin, sur la frappe de vendredi et le sort de son chef.
Les communiqués qui ont suivi l’attentat portaient sur les ripostes du Hezb, annonçant des attaques contre le nord d’Israël, se gardant bien de mentionner le secrétaire général.
Tout cela laisse planer le doute.
Sur son compte X, le porte-parole arabophone de l'armée israélienne, Avichay Adraee, a indiqué que Hassan Nasrallah et Ali Karaki, commandant du front sud, ont "tous deux été éliminés en même temps que d'autres chefs du Hezbollah".
Plus de douze heures après les frappes israéliennes massives sur la banlieue sud de Beyrouth, le Hezbollah ne s’était toujours pas prononcé sur le sort de son secrétaire général. Le numéro 2 des Pasdaran, Abbas Nilforushan, commandant des opérations, aurait été présent à cette réunion, selon des informations non confirmées.
Dans les médias israéliens, les rapports et les analyses se diversifiaient samedi matin, autour du sort de Hassan Nasrallah, sans pour autant trancher.
Selon des responsables israéliens cités par le quotidien israélien Yedioth Ahronot, «Nasrallah était présent au centre de commandement» visé vendredi soir. Le chef du Hezbollah, qui serait établi à Téhéran, aurait effectué une brève visite à Beyrouth, selon le Ynet.
Étant donné les bombes à haute puissance utilisées lors de cette attaque, «personne n'aurait pu survivre», avance un responsable israélien, toujours d’après Yedioth Ahronot.
L’analyse présentée par le quotidien israélien établit un parallèle avec une situation similaire à Gaza, lorsqu’en juillet dernier, Mohammad Deif, chef militaire du Hamas, avait été tué par une frappe puissante alors qu'il sortait d'un tunnel. Il a fallu plusieurs jours pour confirmer sa mort, alors que l'attaque avait visé un petit bâtiment en surface.
D’autres médias israéliens, tels que The Jerusalem Post et Times of Israel, ont rapporté des informations similaires, citant des responsables israéliens, selon qui il est «très difficile d'imaginer qu'il (Nasrallah) puisse sortir vivant d'une telle frappe».
Interrogé sur le sort des cadres du Hezbollah visés dans les frappes de vendredi, le porte-parole de l’armée israélienne, Daniel Hagari, a affirmé que les détails seront annoncés une fois l’enquête terminée, alors que les médias israéliens faisaient état de "preuves détenus par les services de sécurité israéliens sur la mort du chef du Hezbollah.
Lors d’un point de presse donné dans les minutes qui ont suivi l’attaque, M. Hagari a décrit l’opération sans pour autant mentionner le chef de la formation.
Le Hezbollah gardait toujours le silence, samedi matin, sur la frappe de vendredi et le sort de son chef.
Les communiqués qui ont suivi l’attentat portaient sur les ripostes du Hezb, annonçant des attaques contre le nord d’Israël, se gardant bien de mentionner le secrétaire général.
Tout cela laisse planer le doute.
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