Les Houthis ont affirmé, mercredi, avoir tiré trois missiles sur Israël, au lendemain d'une attaque iranienne massive contre le territoire israélien.
Les Houthis ont «mené une opération militaire visant des sites militaires à l'intérieur de l'entité sioniste (...) avec trois missiles de croisière Al-Quds 5», a déclaré leur porte-parole militaire, Yahya Saree, sans préciser la date.
Les missiles ont «atteint leurs cibles», a-t-il assuré, même si «l'ennemi garde le secret sur les résultats de l'opération».
L'armée israélienne n'a pas réagi dans l'immédiat.
L'Iran a tiré, mardi soir, quelque 200 missiles vers Israël, dont la plupart ont été interceptés, selon les autorités israéliennes.
Les Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de l'Iran, ont affirmé que cette attaque, la deuxième en près de six mois, visait à venger la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, du chef du Hamas, Ismaïl Haniyé, et d'un de leurs commandants, Abbas Nilforoushan, tué en même temps que Nasrallah vendredi au Liban.
Les Houthis ont «mené une opération militaire visant des sites militaires à l'intérieur de l'entité sioniste (...) avec trois missiles de croisière Al-Quds 5», a déclaré leur porte-parole militaire, Yahya Saree, sans préciser la date.
Les missiles ont «atteint leurs cibles», a-t-il assuré, même si «l'ennemi garde le secret sur les résultats de l'opération».
L'armée israélienne n'a pas réagi dans l'immédiat.
L'Iran a tiré, mardi soir, quelque 200 missiles vers Israël, dont la plupart ont été interceptés, selon les autorités israéliennes.
Les Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de l'Iran, ont affirmé que cette attaque, la deuxième en près de six mois, visait à venger la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, du chef du Hamas, Ismaïl Haniyé, et d'un de leurs commandants, Abbas Nilforoushan, tué en même temps que Nasrallah vendredi au Liban.
Ici Beyrouth
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