©(Photo / IB)
L'Iran a convoqué, jeudi, les ambassadeurs d'Allemagne et d'Autriche après que leurs gouvernements ont réprimandé la République islamique pour son attaque à missiles contre Israël, a rapporté la presse d'État.
Selon l'agence de presse officielle Irna, cette démarche est une réponse aux «mesures inacceptables» prises par l'Allemagne et l'Autriche en convoquant les envoyés iraniens à la suite de l'attaque menée par l'Iran mardi.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré, dans un communiqué, que l'attaque constituait une «réponse légitime, responsable et efficace pour punir le régime sioniste agresseur (Israël)».
Mardi soir, la République islamique a lancé environ 200 missiles sur Israël lors de sa deuxième attaque directe contre son ennemi juré, après une attaque de missiles et de drones en avril.
Les Gardiens de la révolution islamique ont affirmé que cette attaque était en représailles à l'assassinat, le mois dernier, du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, aux côtés du commandant de la Force Al-Qods de Téhéran, Abbas Nilforoushan, ainsi que du leader politique du Hamas, Ismaïl Haniyé, mort dans un attentat à la bombe en juillet à Téhéran.
L'attaque a déclenché des critiques internationales contre la République islamique.
Jeudi également, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Esmail Baghaei, a condamné ce qu'il a appelé «l'approche continue biaisée et irresponsable» du groupe G7 après qu'il a critiqué l'attaque contre Israël.
Il a également rejeté l'appel du groupe en faveur de nouvelles sanctions contre Téhéran, affirmant que l'attaque était une «réponse nécessaire» aux «actions agressives» d'Israël.
Selon l'agence de presse officielle Irna, cette démarche est une réponse aux «mesures inacceptables» prises par l'Allemagne et l'Autriche en convoquant les envoyés iraniens à la suite de l'attaque menée par l'Iran mardi.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré, dans un communiqué, que l'attaque constituait une «réponse légitime, responsable et efficace pour punir le régime sioniste agresseur (Israël)».
Mardi soir, la République islamique a lancé environ 200 missiles sur Israël lors de sa deuxième attaque directe contre son ennemi juré, après une attaque de missiles et de drones en avril.
Les Gardiens de la révolution islamique ont affirmé que cette attaque était en représailles à l'assassinat, le mois dernier, du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, aux côtés du commandant de la Force Al-Qods de Téhéran, Abbas Nilforoushan, ainsi que du leader politique du Hamas, Ismaïl Haniyé, mort dans un attentat à la bombe en juillet à Téhéran.
L'attaque a déclenché des critiques internationales contre la République islamique.
Jeudi également, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Esmail Baghaei, a condamné ce qu'il a appelé «l'approche continue biaisée et irresponsable» du groupe G7 après qu'il a critiqué l'attaque contre Israël.
Il a également rejeté l'appel du groupe en faveur de nouvelles sanctions contre Téhéran, affirmant que l'attaque était une «réponse nécessaire» aux «actions agressives» d'Israël.
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