©Ziyech ne devrait pas jouer le mondial 2022 avec le Maroc, du fait de sa brouille avec Halilhodzic. Photo d’archives AFP
Le sélectionneur franco-bosnien du Maroc Vahid Halilhodzic, qui a qualifié son équipe pour le Mondial-2022 au Qatar, a affirmé que sa décision de ne plus convoquer la vedette Hakim Ziyech, ainsi que Noussair Mazraoui, était pour lui "une histoire finie".
"Le joueur qui refuse de s'entraîner, qui refuse de jouer, qui simule les blessures, pour moi c'est une histoire finie", a déclaré Halilhodzic, interrogé sur une chaîne de télévision croate, Nova TV, pour savoir s'il serait prêt à convoquer les deux joueurs pour le Mondial (21 nov-18 déc).
Le milieu de terrain de Chelsea Hakim Ziyech et le défenseur de l'Ajax Amsterdam Noussair Mazraoui, brouillés avec le sélectionneur, n'ont pas été convoqués pour les matches du barrage des qualifications contre la République démocratique du Congo disputés fin mars.
Cette déclaration d'Halilhodzic intervient une semaine après celle du président de la Fédération marocaine de football, Fouzi Lekjaa, qui a assuré que les portes de la sélection restaient "ouvertes à tous les joueurs marocains, quels que soient les différends".
Mais pour Halilhodzic, "l'équipe nationale est quelque chose de sacré", elle "n'appartient pas aux joueurs (mais) à ce peuple tout entier". "Lorsque quelqu'un se comporte ainsi, pour moi cette histoire est finie et je ne veux plus en parler. J'ai pris une telle décision. Le fait que quelqu'un pense différemment, c'est son affaire", a-t-il expliqué.
Ziyech, 29 ans, a annoncé début février qu'il prenait sa retraite internationale à la suite de sa brouille avec Halilhodzic.
Malgré la qualification pour le Mondial-2022, Halilhodzic a été critiqué au Maroc pour ses choix tactiques et la composition de l'équipe, ce qui alimente des rumeurs de départ à quelques mois du tournoi.
Interrogé sur son avenir à la tête de la sélection marocaine, Halilhodzic, limogé par la Côte d'Ivoire en 2010 et le Japon en 2018 après les avoir qualifiés pour la Coupe du monde, dit être "serein".
"On verra. Beaucoup de choses bizarres se sont déjà souvent produites dans ma vie (...) Si quelqu'un pense différemment, c'est son affaire. S'ils ne sont pas satisfaits de moi, ce n'est pas la première fois qu'on se sépare", a-t-il souligné.
Au Qatar, le Maroc affrontera la Croatie, vice-championne du monde, et "favorite", selon Halilhodzic, du groupe F, dans lequel figurent aussi la Belgique et le Canada.
"Mais nous n'allons pas nous promener lors de ce match. Nous ferons tout pour éventuellement battre la Croatie. Nous préparerons chaque petit détail et essaierons de surprendre".
"Le joueur qui refuse de s'entraîner, qui refuse de jouer, qui simule les blessures, pour moi c'est une histoire finie", a déclaré Halilhodzic, interrogé sur une chaîne de télévision croate, Nova TV, pour savoir s'il serait prêt à convoquer les deux joueurs pour le Mondial (21 nov-18 déc).
Le milieu de terrain de Chelsea Hakim Ziyech et le défenseur de l'Ajax Amsterdam Noussair Mazraoui, brouillés avec le sélectionneur, n'ont pas été convoqués pour les matches du barrage des qualifications contre la République démocratique du Congo disputés fin mars.
Cette déclaration d'Halilhodzic intervient une semaine après celle du président de la Fédération marocaine de football, Fouzi Lekjaa, qui a assuré que les portes de la sélection restaient "ouvertes à tous les joueurs marocains, quels que soient les différends".
Mais pour Halilhodzic, "l'équipe nationale est quelque chose de sacré", elle "n'appartient pas aux joueurs (mais) à ce peuple tout entier". "Lorsque quelqu'un se comporte ainsi, pour moi cette histoire est finie et je ne veux plus en parler. J'ai pris une telle décision. Le fait que quelqu'un pense différemment, c'est son affaire", a-t-il expliqué.
Ziyech, 29 ans, a annoncé début février qu'il prenait sa retraite internationale à la suite de sa brouille avec Halilhodzic.
Malgré la qualification pour le Mondial-2022, Halilhodzic a été critiqué au Maroc pour ses choix tactiques et la composition de l'équipe, ce qui alimente des rumeurs de départ à quelques mois du tournoi.
Interrogé sur son avenir à la tête de la sélection marocaine, Halilhodzic, limogé par la Côte d'Ivoire en 2010 et le Japon en 2018 après les avoir qualifiés pour la Coupe du monde, dit être "serein".
"On verra. Beaucoup de choses bizarres se sont déjà souvent produites dans ma vie (...) Si quelqu'un pense différemment, c'est son affaire. S'ils ne sont pas satisfaits de moi, ce n'est pas la première fois qu'on se sépare", a-t-il souligné.
Au Qatar, le Maroc affrontera la Croatie, vice-championne du monde, et "favorite", selon Halilhodzic, du groupe F, dans lequel figurent aussi la Belgique et le Canada.
"Mais nous n'allons pas nous promener lors de ce match. Nous ferons tout pour éventuellement battre la Croatie. Nous préparerons chaque petit détail et essaierons de surprendre".
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