Le Liban a pris part à la mise en valeur du patrimoine historique de la Corée du Sud dans le cadre d’un événement «Art Celebration», organisé vendredi à Séoul.
A cette occasion, les épouses des ambassadeurs accrédités dans la capitale coréenne ont été initiées au «bojagi», une technique d’emballage traditionnelle coréenne avec du tissu. Elles ont pu apprécier par la même occasion les œuvres d'artistes coréens lors de la réception d'ouverture de "Art Celebration".
L’atelier relatif au bojagi était organisé conjointement par l’ambassadeur du Liban en Corée Antoine Azzam, la Trinity Gallery et l’hôtel Mondrian Seoul Itaewon. «Les missions diplomatiques doivent emporter avec elles quelque chose qui rappelle le pays où elles ont servi avant de le quitter» a expliqué M. Azzam à cette occasion.
L'ambassadeur du Liban Antoine Azzam recevant son œuvre "bojagi"
Lorsque la Trinity Gallery l'avait invité à la réception d'ouverture de l'exposition organisée en coopération avec Mondrian Seoul Itaewon, Antoine Azzam avait suggéré l’organisation d’un atelier de bojagi pour célébrer l'art coréen traditionnel et moderne. «En tant qu'ambassadeur, je ne suis pas exclusif à mon pays, mais je représente également le pays hôte. C’est ainsi que j’ai eu l'idée du bojagi qui signifie emballage, d’autant plus que j’avais rencontré un artiste bojagi pour apprendre cette technique afin de garder avec moi un souvenir de la Corée quand je partirai», a-t-il déclaré au Korea Times.
"Je voulais aussi exprimer mon opposition aux guerres et à la laideur, surtout que l'art délivre un message de résilience qui guérit", a-t-il ajouté, en soulignant son attachement à cette forme d’expression.
A cette occasion, les épouses des ambassadeurs accrédités dans la capitale coréenne ont été initiées au «bojagi», une technique d’emballage traditionnelle coréenne avec du tissu. Elles ont pu apprécier par la même occasion les œuvres d'artistes coréens lors de la réception d'ouverture de "Art Celebration".
L’atelier relatif au bojagi était organisé conjointement par l’ambassadeur du Liban en Corée Antoine Azzam, la Trinity Gallery et l’hôtel Mondrian Seoul Itaewon. «Les missions diplomatiques doivent emporter avec elles quelque chose qui rappelle le pays où elles ont servi avant de le quitter» a expliqué M. Azzam à cette occasion.
L'ambassadeur du Liban Antoine Azzam recevant son œuvre "bojagi"Lorsque la Trinity Gallery l'avait invité à la réception d'ouverture de l'exposition organisée en coopération avec Mondrian Seoul Itaewon, Antoine Azzam avait suggéré l’organisation d’un atelier de bojagi pour célébrer l'art coréen traditionnel et moderne. «En tant qu'ambassadeur, je ne suis pas exclusif à mon pays, mais je représente également le pays hôte. C’est ainsi que j’ai eu l'idée du bojagi qui signifie emballage, d’autant plus que j’avais rencontré un artiste bojagi pour apprendre cette technique afin de garder avec moi un souvenir de la Corée quand je partirai», a-t-il déclaré au Korea Times.
"Je voulais aussi exprimer mon opposition aux guerres et à la laideur, surtout que l'art délivre un message de résilience qui guérit", a-t-il ajouté, en soulignant son attachement à cette forme d’expression.
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