©Photo Stringer/AFP
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah Naïm Kassem a affirmé lundi soir qu’il est "presque impossible pour le camp adverse (souverainiste, NDLR) d’obtenir la majorité dans le pays". Il a également souligné que le "Hezbollah ne veut pas remporter la majorité" aux prochaines législatives, mais uniquement "avoir un poids important au sein des institutions pour avoir l’impact souhaité".
Au cours d’une interview télévisée sur la chaine pro-moumanaa Al-Mayadeen, le numéro deux de la formation pro-iranienne s’en est aussi pris aux États-Unis, accusant son ambassade "d’avoir tenté d’exploiter le mouvement du 17 Octobre pour atteindre ses objectifs". Il a par ailleurs affirmé que les adversaires du Hezbollah se "réunissent à l’ambassade américaine et reçoivent des directives pour cibler la résistance", ajoutant que l’Arabie saoudite "endossent totalement les Forces libanaises". Enfin, il a accusé Washington d’avoir "demandé à la Banque mondiale de ne pas accorder de prêt au Liban pour importer l’électricité de Jordanie et le gaz d’Égypte ", assurant que "les États-Unis n’ont aucun problème à voir tous les Libanais mourir de faim afin de réaliser leur politique qui est dans l’intérêt d’Israël."
Concernant l’élection présidentielle libanaise qui doit se tenir en automne, Naïm Kassem a assuré que, pour le moment, le Hezbollah ne "s’est engagé avec personne", contrairement aux dernières élections, lorsque la formation avait bloqué les institutions pendant des années pour faire élire Michel Aoun. Mais le secrétaire général adjoint a assuré que "le Hezbollah et le Courant patriotique libre sont d’accord sur le fait que l’entente (de Mar Mikhaël) doit être maintenue". Il a par ailleurs fait état d'une "accalmie pré-électorale entre le CPL et le mouvement Amal, à la demande des deux partis".
Enfin, le cheikh Naïm Kassem a réitéré l’appel de son camp à un retour aux "relations naturelles avec la Syrie et à un retour des déplacés syriens dans leurs pays" et a qualifié le dialogue irano-saoudien de "positif".
Au cours d’une interview télévisée sur la chaine pro-moumanaa Al-Mayadeen, le numéro deux de la formation pro-iranienne s’en est aussi pris aux États-Unis, accusant son ambassade "d’avoir tenté d’exploiter le mouvement du 17 Octobre pour atteindre ses objectifs". Il a par ailleurs affirmé que les adversaires du Hezbollah se "réunissent à l’ambassade américaine et reçoivent des directives pour cibler la résistance", ajoutant que l’Arabie saoudite "endossent totalement les Forces libanaises". Enfin, il a accusé Washington d’avoir "demandé à la Banque mondiale de ne pas accorder de prêt au Liban pour importer l’électricité de Jordanie et le gaz d’Égypte ", assurant que "les États-Unis n’ont aucun problème à voir tous les Libanais mourir de faim afin de réaliser leur politique qui est dans l’intérêt d’Israël."
Concernant l’élection présidentielle libanaise qui doit se tenir en automne, Naïm Kassem a assuré que, pour le moment, le Hezbollah ne "s’est engagé avec personne", contrairement aux dernières élections, lorsque la formation avait bloqué les institutions pendant des années pour faire élire Michel Aoun. Mais le secrétaire général adjoint a assuré que "le Hezbollah et le Courant patriotique libre sont d’accord sur le fait que l’entente (de Mar Mikhaël) doit être maintenue". Il a par ailleurs fait état d'une "accalmie pré-électorale entre le CPL et le mouvement Amal, à la demande des deux partis".
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