Mirvat Hamza et Mirna Cheikho, mère et fille, ont remporté le Championnat du Liban de volley-ball de première division avec le club Kalamoun, ainsi que le Championnat du Liban de beach volley-ball. Les deux championnes sont passionnées par leur sport et ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin.
Les deux joueuses libanaises Mirvat Hamza et Mirna Cheikho, mère et fille, ont attiré l’attention en remportant un doublé de titres de championnes du Liban dans différentes disciplines de volley-ball. D’abord, en formant une paire gagnante en beach volley-ball, puis en remportant le titre de la première division féminine de volley-ball en salle, avec le club nordiste de Kalamoun. L’exploit réalisé par le duo Hamza-Cheikho est une première historique.
La mère Mirvat Hamza
Mirvat Hamza, la quarantaine épanouie, précise dans un entretien à Ici Beyrouth qu’elle «pratique le volley-ball et le beach volley-ball depuis près de huit ans. J’ai commencé à pratiquer ce sport dans le cadre d’un régime alimentaire pour perdre du poids, et je m’y suis attaché. Je pratique ce sport désormais très régulièrement et j’ai remporté plusieurs titres.»
Hamza ajoute: «avant le volley-ball, je pratiquais l’athlétisme dans le célèbre club de Champville, et j’étais spécialiste des épreuves du 800 et du 1500 mètres, dans lesquelles j’ai remporté plusieurs médailles. Hamza poursuit en expliquant qu’au «niveau du beach volley-ball, j’ai remporté le tournoi de Jumeirah (Émirats Arabes Unis) avec ma fille en 2018, et nous avons également décroché un podium au cours de deux tournois qui ont eu lieu à Dubai (Emirats arabes unis) en 2019 et 2020. Nous planifions de participer au tournoi Star 1, qui se tiendra à Aqaba (Jordanie). Je me sens encore capable de poursuivre ma carrière sportive et la retraite n’est pas d’actualité.»
Au cours de l’entretien, Hamza a tenu à adresser des remerciements au président de l’association Beyrouth lel tanmiya, Ahmad Hachmieh, pour son soutien dans le financement de leurs participations aux tournois internationaux, ainsi qu’aux stages d’entraînement. Hamza souigne que «le coût de la participation à des tournois internationaux est très élevé et avoisine les 3000 dollars par tournoi. Ceci représente un montant particulièrement important dans le contexte de crise économique que traverse le pays».
Pour l’avenir, Hamza ambitionne de «conserver ses titres de championne du Liban de volley-ball avec Kalamoun, et de beach volley-ball en double avec sa fille. Le président de Kalamoun, Ghassan Kozaiha, fournit beaucoup d’efforts pour le club.»
Quant à sa relation avec la Fédération libanaise de volley-ball, Hamza qualifie son lien avec le président, Walid Kassouf, d’excellent, soulignant que l’entité accomplit pleinement sa tâche dans l’organisation des différentes catégories de compétitions de ce sport à l’échelle nationale.
En réponse à une question sur la gestion de sa carrière professionnelle et sportive, Hamza souligne qu’elle «arrive très bien à pallier son poste de présidente du département du Nord du ministère de l’Éducation nationale et ses entraînements de volleyeuse».
La fille Mirna Cheikho
De son côté, Mirna Cheikho, âgée de 18 ans, explique à Ici Beyrouth que cela fait cinq ans qu’elle pratique le volley. «Avant le volley, je pratiquais le tennis et l’athlétisme. J’ai tout de suite été passionnée par le volley. J’ai débuté dans les équipes de jeunes de Kalamoun, avant de rejoindre l’équipe première.»
«J'ai également vite été intéressée par le beach volley-ball, et j’ai formé avec ma mère un duo redoutable qui a remporté le Championnat du Liban, l’été 2021. Notre objectif est de conserver notre titre l’été prochain, et nous envisageons de participer à des tournois internationaux. J’apprécie de jouer avec ma mère. Nous avons un fort esprit d’équipe quand nous jouons ensemble et nous sommes déterminés à remporter des titres ensemble», souligne-t-elle.
«Je suis très heureuse de faire équipe avec ma mère, qui me remonte le moral au cours des matches, quand j’en ai besoin. Ma maman fait office d’une mère et d’une sœur en même temps. Quand ma mère sera à la retraite, je formerai une paire avec ma cousine Lara el-Nahi, qui est aujourd’hui âgée de 13 ans, et qui est promise à un brillant avenir», ajoute-t-elle.
Cheikho a reçu de nombreuses offres de bourses universitaires d’Europe et des États-Unis, et étudie actuellement la possibilité d’y répondre favorablement, dans l’objectif de poursuivre une carrière professionnelle. Elle ajoute qu’elle «a de grandes ambitions et souhaite représenter le Liban dans de grandes compétitions internationales, avec pour objectif de faire retentir l’hymne national libanais».
«Je suis très reconnaissante envers ma mère pour m’avoir orientée vers le sport, et j’apprécie beaucoup qu’on se demande si Mirvat est ma mère ou ma sœur», conclut la jeune championne.
Les deux joueuses libanaises Mirvat Hamza et Mirna Cheikho, mère et fille, ont attiré l’attention en remportant un doublé de titres de championnes du Liban dans différentes disciplines de volley-ball. D’abord, en formant une paire gagnante en beach volley-ball, puis en remportant le titre de la première division féminine de volley-ball en salle, avec le club nordiste de Kalamoun. L’exploit réalisé par le duo Hamza-Cheikho est une première historique.
La mère Mirvat Hamza
Mirvat Hamza, la quarantaine épanouie, précise dans un entretien à Ici Beyrouth qu’elle «pratique le volley-ball et le beach volley-ball depuis près de huit ans. J’ai commencé à pratiquer ce sport dans le cadre d’un régime alimentaire pour perdre du poids, et je m’y suis attaché. Je pratique ce sport désormais très régulièrement et j’ai remporté plusieurs titres.»
Hamza ajoute: «avant le volley-ball, je pratiquais l’athlétisme dans le célèbre club de Champville, et j’étais spécialiste des épreuves du 800 et du 1500 mètres, dans lesquelles j’ai remporté plusieurs médailles. Hamza poursuit en expliquant qu’au «niveau du beach volley-ball, j’ai remporté le tournoi de Jumeirah (Émirats Arabes Unis) avec ma fille en 2018, et nous avons également décroché un podium au cours de deux tournois qui ont eu lieu à Dubai (Emirats arabes unis) en 2019 et 2020. Nous planifions de participer au tournoi Star 1, qui se tiendra à Aqaba (Jordanie). Je me sens encore capable de poursuivre ma carrière sportive et la retraite n’est pas d’actualité.»
Au cours de l’entretien, Hamza a tenu à adresser des remerciements au président de l’association Beyrouth lel tanmiya, Ahmad Hachmieh, pour son soutien dans le financement de leurs participations aux tournois internationaux, ainsi qu’aux stages d’entraînement. Hamza souigne que «le coût de la participation à des tournois internationaux est très élevé et avoisine les 3000 dollars par tournoi. Ceci représente un montant particulièrement important dans le contexte de crise économique que traverse le pays».
Pour l’avenir, Hamza ambitionne de «conserver ses titres de championne du Liban de volley-ball avec Kalamoun, et de beach volley-ball en double avec sa fille. Le président de Kalamoun, Ghassan Kozaiha, fournit beaucoup d’efforts pour le club.»
Quant à sa relation avec la Fédération libanaise de volley-ball, Hamza qualifie son lien avec le président, Walid Kassouf, d’excellent, soulignant que l’entité accomplit pleinement sa tâche dans l’organisation des différentes catégories de compétitions de ce sport à l’échelle nationale.
En réponse à une question sur la gestion de sa carrière professionnelle et sportive, Hamza souligne qu’elle «arrive très bien à pallier son poste de présidente du département du Nord du ministère de l’Éducation nationale et ses entraînements de volleyeuse».
La fille Mirna Cheikho
De son côté, Mirna Cheikho, âgée de 18 ans, explique à Ici Beyrouth que cela fait cinq ans qu’elle pratique le volley. «Avant le volley, je pratiquais le tennis et l’athlétisme. J’ai tout de suite été passionnée par le volley. J’ai débuté dans les équipes de jeunes de Kalamoun, avant de rejoindre l’équipe première.»
«J'ai également vite été intéressée par le beach volley-ball, et j’ai formé avec ma mère un duo redoutable qui a remporté le Championnat du Liban, l’été 2021. Notre objectif est de conserver notre titre l’été prochain, et nous envisageons de participer à des tournois internationaux. J’apprécie de jouer avec ma mère. Nous avons un fort esprit d’équipe quand nous jouons ensemble et nous sommes déterminés à remporter des titres ensemble», souligne-t-elle.
«Je suis très heureuse de faire équipe avec ma mère, qui me remonte le moral au cours des matches, quand j’en ai besoin. Ma maman fait office d’une mère et d’une sœur en même temps. Quand ma mère sera à la retraite, je formerai une paire avec ma cousine Lara el-Nahi, qui est aujourd’hui âgée de 13 ans, et qui est promise à un brillant avenir», ajoute-t-elle.
Cheikho a reçu de nombreuses offres de bourses universitaires d’Europe et des États-Unis, et étudie actuellement la possibilité d’y répondre favorablement, dans l’objectif de poursuivre une carrière professionnelle. Elle ajoute qu’elle «a de grandes ambitions et souhaite représenter le Liban dans de grandes compétitions internationales, avec pour objectif de faire retentir l’hymne national libanais».
«Je suis très reconnaissante envers ma mère pour m’avoir orientée vers le sport, et j’apprécie beaucoup qu’on se demande si Mirvat est ma mère ou ma sœur», conclut la jeune championne.
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