Selon des sources proches du palais présidentiel, citées par le quotidien al Sharq al Awsat, (proche des milieux saoudiens), le président Michel Aoun ne compte pas rester en fonction au Palais présidentiel à l’expiration de son mandat le 31 octobre 2022.
Dans une interview publiée la semaine dernière dans le quotidien Al-Akhbar (proche du Hezbollah) le président Aoun avait créé une nouvelle polémique portant sur une volonté attribuée à l’actuel locataire de Baabda de s’accrocher au pouvoir après la fin de son mandat. Le président y avait affirmé qu’il «ne remettra pas le pouvoir au vide» au cas où le Parlement n’élit pas un successeur à la tête de l’Etat.
Rappelons qu’en novembre 1989, Michel Aoun, alors chef d’un gouvernement de transition, avait refusé de reconnaitre l’élection du président René Moawad, considérant l’élection illégitime et illégale et qu’il ne pouvait que rester au pouvoir par peur d’un vide institutionnel.
Dans une interview publiée la semaine dernière dans le quotidien Al-Akhbar (proche du Hezbollah) le président Aoun avait créé une nouvelle polémique portant sur une volonté attribuée à l’actuel locataire de Baabda de s’accrocher au pouvoir après la fin de son mandat. Le président y avait affirmé qu’il «ne remettra pas le pouvoir au vide» au cas où le Parlement n’élit pas un successeur à la tête de l’Etat.
Rappelons qu’en novembre 1989, Michel Aoun, alors chef d’un gouvernement de transition, avait refusé de reconnaitre l’élection du président René Moawad, considérant l’élection illégitime et illégale et qu’il ne pouvait que rester au pouvoir par peur d’un vide institutionnel.
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