L'Australie jouera son va-tout dans la course au Mondial-2022 au Qatar contre le Pérou le 13 juin, grâce à sa victoire 2-1 contre les Emirats arabes unis en match de pré-barrage de la zone Asie dans le pays hôte mardi.
Le vainqueur du barrage intercontinental Asie - Amérique du sud entre l'Australie et le Pérou héritera d'une place dans le Groupe D comprenant, outre les champions du monde français, les Danois et les Tunisiens.
Pour l'emporter "il faudra jouer un meilleur match", annonce déjà le sélectionneur australien Graham Arnold, "satisfait à 50% ce soir".
"Si j'entrais dans les vestiaires pour demander aux joueurs s'ils ont une marge de progression, je pense qu'ils diraient tous oui, a-t-il estimé en conférence de presse d'après-match. C'est ce qu'il nous faut."
La sélection péruvienne, 22e au classement Fifa et 5e des qualifications de la zone Amérique du Sud, vise une sixième qualification au Mondial, les "Socceroos", 42e nation et 3e de leur groupe de qualification, une cinquième.
Les Emiratis, eux, se trouvent privés d'une deuxième Coupe du monde, après 1990.
"Manqué d'énergie"
Auteurs d'une première période sans relief, ce sont les Australiens qui ont ouvert le score à la 53e minute par leur milieu de terrain Jackson Irvine au premier poteau.
Mais l'avantage n'a guère duré: quatre minutes plus tard, l'avant-centre Caio Canedo Correa égalisait sur un centre de l'omniprésent attaquant Harib Abdalla Almaazmi (19 ans), auteur des deux seuls tirs cadrés des 45 premières minutes.
A la 84e, le mot de la fin est revenu au milieu Ajdin Hrustic, d'une frappe du gauche depuis l'orée de la surface de réparation déviée par un adversaire, au grand dam des quelques milliers de supporters émiratis venus en voisins dans le stade Ahmad ben Ali.
Leur équipe a "manqué d'énergie" dans les 15 dernières minutes, n'a pu que constater le sélectionneur argentin Rodolfo Arruabarrena, en place depuis février seulement et qui encadre pour la première fois au niveau international.
Après la qualification du pays de Galles dimanche, il ne reste que deux billets sur 32 à décrocher pour la première Coupe du monde de l'histoire dans un pays arabe du 21 novembre au 18 décembre.
Au lendemain d'Australie-Pérou, le Costa Rica et la Nouvelle-Zélande se départageront le 14 juin pour une place dans le relevé groupe E, avec l'Espagne, l'Allemagne et le Japon.
Les deux matches sont programmés dans ce même stade Ahmad ben Ali. L'enceinte climatisée, située à Al-Rayyan (ouest de Doha), accueillera sept matches, dont un huitième de finale, lors du Mondial.
Le vainqueur du barrage intercontinental Asie - Amérique du sud entre l'Australie et le Pérou héritera d'une place dans le Groupe D comprenant, outre les champions du monde français, les Danois et les Tunisiens.
Pour l'emporter "il faudra jouer un meilleur match", annonce déjà le sélectionneur australien Graham Arnold, "satisfait à 50% ce soir".
"Si j'entrais dans les vestiaires pour demander aux joueurs s'ils ont une marge de progression, je pense qu'ils diraient tous oui, a-t-il estimé en conférence de presse d'après-match. C'est ce qu'il nous faut."
La sélection péruvienne, 22e au classement Fifa et 5e des qualifications de la zone Amérique du Sud, vise une sixième qualification au Mondial, les "Socceroos", 42e nation et 3e de leur groupe de qualification, une cinquième.
Les Emiratis, eux, se trouvent privés d'une deuxième Coupe du monde, après 1990.
"Manqué d'énergie"
Auteurs d'une première période sans relief, ce sont les Australiens qui ont ouvert le score à la 53e minute par leur milieu de terrain Jackson Irvine au premier poteau.
Mais l'avantage n'a guère duré: quatre minutes plus tard, l'avant-centre Caio Canedo Correa égalisait sur un centre de l'omniprésent attaquant Harib Abdalla Almaazmi (19 ans), auteur des deux seuls tirs cadrés des 45 premières minutes.
A la 84e, le mot de la fin est revenu au milieu Ajdin Hrustic, d'une frappe du gauche depuis l'orée de la surface de réparation déviée par un adversaire, au grand dam des quelques milliers de supporters émiratis venus en voisins dans le stade Ahmad ben Ali.
Leur équipe a "manqué d'énergie" dans les 15 dernières minutes, n'a pu que constater le sélectionneur argentin Rodolfo Arruabarrena, en place depuis février seulement et qui encadre pour la première fois au niveau international.
Après la qualification du pays de Galles dimanche, il ne reste que deux billets sur 32 à décrocher pour la première Coupe du monde de l'histoire dans un pays arabe du 21 novembre au 18 décembre.
Au lendemain d'Australie-Pérou, le Costa Rica et la Nouvelle-Zélande se départageront le 14 juin pour une place dans le relevé groupe E, avec l'Espagne, l'Allemagne et le Japon.
Les deux matches sont programmés dans ce même stade Ahmad ben Ali. L'enceinte climatisée, située à Al-Rayyan (ouest de Doha), accueillera sept matches, dont un huitième de finale, lors du Mondial.
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