©Nicoletta Bombardiere et Edouard Beigbeder s’entretenant avec les élèves d’une des écoles bénéficiant de l’aide italienne.
L’ambassade d’Italie au Liban, par le biais de l’Agence italienne pour la coopération au développement (AICS) a annoncé mercredi une aide de deux millions d’euros en faveur du programme de l’Unicef pour la réhabilitation des écoles visant à créer un environnement d’apprentissage plus propice pour les étudiants et les enseignants au Liban.
Depuis 2015, grâce à un financement de l’Italie, l’Unicef a mené d’importants travaux de réhabilitation dans 38 écoles publiques à travers le pays, au profit de plus de 22.000 élèves qui suivent désormais des cours dans des locaux améliorés et plus sûrs. Sept écoles supplémentaires sont actuellement en cours de réhabilitation toujours avec le soutien de l’Italie.
Cette nouvelle contribution de l’Italie permettra à l’Unicef d’améliorer les normes d’hygiène, de santé et de sécurité dans cinq écoles supplémentaires qui n’ont pas encore bénéficié du programme. Ces écoles seront aménagées pour les rendre accessibles aux enfants handicapés.
L’ambassadrice d’Italie Nicoletta Bombardiere a expliqué à cette occasion que dans le cadre de ses programmes, l’AICS accorde une importance à la réhabilitation des écoles publiques «afin de garantir un environnement sûr et positif dans lequel les enfants peuvent recevoir une éducation de qualité et développer des qualités humaines qui constitueront la base de la société de l’avenir». «L’être humain est au centre de la politique d’aide italienne», a affirmé Mme Bombardiere.
De son côté, Edouard Beigbeder, représentant de l’Unicef au Liban, a souligné que la réhabilitation des écoles «a un impact positif sur les conditions d’enseignement et d’apprentissage des enfants». Constatant une «perte d’apprentissage» au cours des trois dernières années, en raison notamment du Covid-19 et de la crise économique et financière, M. Beigbeder a affirmé que la scolarisation reste «une priorité pour l’Unicef». Il a estimé que la réhabilitation des établissements aura un effet sur la santé et la sécurité des élèves, mais contribuera aussi à leur bien-être.
Représentant le ministre de l’Éducation, George Daoud, chef du département de l’enseignement primaire au ministère, a fait remarquer que cette aide montre l’intérêt que porte les pays donateurs au Liban en soutenant le secteur pédagogique.
Les travaux de réhabilitation englobent notamment l’installation et la réparation des portes, du carrelage, de nouvelles fenêtres, ainsi que la peinture des bâtiments et des salles de classe, ainsi que l’entretien des systèmes électriques.
Chaque école fera également l’objet d’une évaluation pour qu’elle soit dotée, dans la mesure du possible, d’un système d’éclairage photovoltaïque.
Depuis 2015, grâce à un financement de l’Italie, l’Unicef a mené d’importants travaux de réhabilitation dans 38 écoles publiques à travers le pays, au profit de plus de 22.000 élèves qui suivent désormais des cours dans des locaux améliorés et plus sûrs. Sept écoles supplémentaires sont actuellement en cours de réhabilitation toujours avec le soutien de l’Italie.
Cette nouvelle contribution de l’Italie permettra à l’Unicef d’améliorer les normes d’hygiène, de santé et de sécurité dans cinq écoles supplémentaires qui n’ont pas encore bénéficié du programme. Ces écoles seront aménagées pour les rendre accessibles aux enfants handicapés.
L’ambassadrice d’Italie Nicoletta Bombardiere a expliqué à cette occasion que dans le cadre de ses programmes, l’AICS accorde une importance à la réhabilitation des écoles publiques «afin de garantir un environnement sûr et positif dans lequel les enfants peuvent recevoir une éducation de qualité et développer des qualités humaines qui constitueront la base de la société de l’avenir». «L’être humain est au centre de la politique d’aide italienne», a affirmé Mme Bombardiere.
De son côté, Edouard Beigbeder, représentant de l’Unicef au Liban, a souligné que la réhabilitation des écoles «a un impact positif sur les conditions d’enseignement et d’apprentissage des enfants». Constatant une «perte d’apprentissage» au cours des trois dernières années, en raison notamment du Covid-19 et de la crise économique et financière, M. Beigbeder a affirmé que la scolarisation reste «une priorité pour l’Unicef». Il a estimé que la réhabilitation des établissements aura un effet sur la santé et la sécurité des élèves, mais contribuera aussi à leur bien-être.
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