« Quand je dessine une femme, je ne vois que le beau. Les gestes, la posture, le regard, l’habillé, le déshabillé. Tout est sensuel, sous-entendu. Rien n’est vulgaire. C’est la beauté à l’état pur.»
Voici la description parfaite de la femme vue par un homme à la fois artiste et gynécologue.
En effet, qui mieux que Dr Nicolas Baaklini pourrait mettre en valeur les courbes de la féminité et sa beauté intérieure et extérieure?
Gynécologue obstétricien de renom, Nicolas Baaklini cache une autre passion qui s’avèrera une complétude de son métier initial. Il jongle naturellement avec la médecine et l’art.
Mais n’est-ce pas un miracle en soi que d’aider à mettre au monde un enfant? N’est-ce pas là tout un art, au même titre que la peinture? L’enfantement d’une toile serait en quelque sorte aussi puissant que celui d’un enfant. Et sa mise en œuvre, une naissance pure.
Le premier dessin qu’il a réalisé à l’âge de six ans a été sélectionné par un jury pour servir de carte de vœux de fin d’année. Nicolas ne s’en souvient même pas. C’est sa mère qui le lui offre pour ses 35 ans.
C’est alors qu’il retourne à sa passion première, à la fin de son cursus médical. Il se met à l’aquarelle et participe à des expositions collectives d’artistes amateurs en France.
Puis il rentre au Liban où il entame une carrière à succès. Il est praticien à l’hôpital Trad et au Clemenceau Medical Center à Beyrouth.
Il est l’ami des femmes, leur soutien. Il les soigne, les guérit et les accompagne dans leurs grossesses. Il est celui qui les assiste à la naissance de leurs enfants. Quoi de plus noble!
Celui qui soutient la création humaine est aussi un créateur en soi.
Grand amoureux de la nature sous toutes ses formes, il trouve sa paix devant la mer. Natif du signe Poissons, l’eau est son élément de prédilection. Il observe les remous des vagues et l’écume se former sur les flots de notre Méditerranée. Il puise dans cette eau pour réaliser ses aquarelles.
Grand nageur, quel que soit le climat ou la saison, Nicolas Baaklini sait faire glisser son pinceau dans cet univers liquide, pour en faire ressortir des naïades qui s’épanouissent sur ses toiles.
Nicolas Baaklini, dont l’humilité rivalise avec le sens de l’humour, serait aujourd’hui un des meilleurs aquarellistes contemporains libanais.
Maître de l’eau et de la transparence de son inconsistance, il y mélange les pigments pour en faire de magnifiques lavis qui donnent vie à des chefs-d’œuvre. Les bateaux qu’il dessine avec tant de précision voguent sur cette eau qui les emporte vers de lointaines destinations. La liberté de leurs courbes est jumelle de celles des femmes. C’est ainsi que le ressent l’artiste.
Il commence à dessiner. Il accentue les détails à l’encre de Chine. Il se lance à l’eau et il jette l’ancre. Puis il trouve l’équilibre et la perfection avec la couleur. C’est spécifiquement une question de perfection parce qu’avec l’aquarelle, on n’a pas droit à l’erreur. La moindre fausse touche de pinceau gâcherait toute l’œuvre. Il s’agit de trouver le moyen de prendre le large sans faire naufrage.
Nicolas Baaklini peint de merveilleux bateaux. Il lève le voile et révèle tant de beaux horizons. Il nous fait voyager sur le bleu et nous fait découvrir la femme dans son état le plus pur.
Naïades et déesses de la mer, créatures des eaux, l’artiste leur donne vie et leur fait honneur. Les Grandes Baigneuses des temps modernes se diluent sur les papiers de coton et flottent, épanouies et sereines, dans leur beauté la plus simple.
Nicolas Baaklini est par ailleurs portraitiste. Après avoir longtemps évité ce genre, par crainte de mal faire, il se lance et y excelle. Les portraits les plus émouvants qu’il réalise sont incontestablement ceux de sa mère bien-aimée, de ses enfants et de son épouse… sa muse, Fadia Ahmad.
«À force de forger, on devient forgeron.» il répète ce dicton à l’envi et effectivement, par la pratique et le travail acharné, cet artiste accompli devient expert en portraits et dispense un plaisir fou à celui qui observe ses œuvres… Le plaisir de lire la vie d’un personnage derrière ses coups de pinceau.
Son livre Art Within est sorti en 2021. Il l’a signé lors de sa première exposition en solo, en bord de mer. L’artiste nous a plongés dans son monde bleuté et translucide. Il nous a fait découvrir des centaines d’aquarelles sur fond de parfum marin, sous le regard bienveillant et solide de la Grotte aux pigeons de Raouché, à Beyrouth.
Lorsque l’art de mettre au monde sert la naissance d’une œuvre et celle d’un enfant, l’artiste participe à la création de la vie.
C’est ce que fait Dr Nicolas Baaklini, avec tant de talent et de passion.
www.zeinanader.com
Voici la description parfaite de la femme vue par un homme à la fois artiste et gynécologue.
En effet, qui mieux que Dr Nicolas Baaklini pourrait mettre en valeur les courbes de la féminité et sa beauté intérieure et extérieure?
Gynécologue obstétricien de renom, Nicolas Baaklini cache une autre passion qui s’avèrera une complétude de son métier initial. Il jongle naturellement avec la médecine et l’art.
Mais n’est-ce pas un miracle en soi que d’aider à mettre au monde un enfant? N’est-ce pas là tout un art, au même titre que la peinture? L’enfantement d’une toile serait en quelque sorte aussi puissant que celui d’un enfant. Et sa mise en œuvre, une naissance pure.
Le premier dessin qu’il a réalisé à l’âge de six ans a été sélectionné par un jury pour servir de carte de vœux de fin d’année. Nicolas ne s’en souvient même pas. C’est sa mère qui le lui offre pour ses 35 ans.
C’est alors qu’il retourne à sa passion première, à la fin de son cursus médical. Il se met à l’aquarelle et participe à des expositions collectives d’artistes amateurs en France.
Puis il rentre au Liban où il entame une carrière à succès. Il est praticien à l’hôpital Trad et au Clemenceau Medical Center à Beyrouth.
Il est l’ami des femmes, leur soutien. Il les soigne, les guérit et les accompagne dans leurs grossesses. Il est celui qui les assiste à la naissance de leurs enfants. Quoi de plus noble!
Celui qui soutient la création humaine est aussi un créateur en soi.
Grand amoureux de la nature sous toutes ses formes, il trouve sa paix devant la mer. Natif du signe Poissons, l’eau est son élément de prédilection. Il observe les remous des vagues et l’écume se former sur les flots de notre Méditerranée. Il puise dans cette eau pour réaliser ses aquarelles.
Grand nageur, quel que soit le climat ou la saison, Nicolas Baaklini sait faire glisser son pinceau dans cet univers liquide, pour en faire ressortir des naïades qui s’épanouissent sur ses toiles.
Nicolas Baaklini, dont l’humilité rivalise avec le sens de l’humour, serait aujourd’hui un des meilleurs aquarellistes contemporains libanais.
Maître de l’eau et de la transparence de son inconsistance, il y mélange les pigments pour en faire de magnifiques lavis qui donnent vie à des chefs-d’œuvre. Les bateaux qu’il dessine avec tant de précision voguent sur cette eau qui les emporte vers de lointaines destinations. La liberté de leurs courbes est jumelle de celles des femmes. C’est ainsi que le ressent l’artiste.
Il commence à dessiner. Il accentue les détails à l’encre de Chine. Il se lance à l’eau et il jette l’ancre. Puis il trouve l’équilibre et la perfection avec la couleur. C’est spécifiquement une question de perfection parce qu’avec l’aquarelle, on n’a pas droit à l’erreur. La moindre fausse touche de pinceau gâcherait toute l’œuvre. Il s’agit de trouver le moyen de prendre le large sans faire naufrage.
Nicolas Baaklini peint de merveilleux bateaux. Il lève le voile et révèle tant de beaux horizons. Il nous fait voyager sur le bleu et nous fait découvrir la femme dans son état le plus pur.
Naïades et déesses de la mer, créatures des eaux, l’artiste leur donne vie et leur fait honneur. Les Grandes Baigneuses des temps modernes se diluent sur les papiers de coton et flottent, épanouies et sereines, dans leur beauté la plus simple.
Nicolas Baaklini est par ailleurs portraitiste. Après avoir longtemps évité ce genre, par crainte de mal faire, il se lance et y excelle. Les portraits les plus émouvants qu’il réalise sont incontestablement ceux de sa mère bien-aimée, de ses enfants et de son épouse… sa muse, Fadia Ahmad.
«À force de forger, on devient forgeron.» il répète ce dicton à l’envi et effectivement, par la pratique et le travail acharné, cet artiste accompli devient expert en portraits et dispense un plaisir fou à celui qui observe ses œuvres… Le plaisir de lire la vie d’un personnage derrière ses coups de pinceau.
Son livre Art Within est sorti en 2021. Il l’a signé lors de sa première exposition en solo, en bord de mer. L’artiste nous a plongés dans son monde bleuté et translucide. Il nous a fait découvrir des centaines d’aquarelles sur fond de parfum marin, sous le regard bienveillant et solide de la Grotte aux pigeons de Raouché, à Beyrouth.
Lorsque l’art de mettre au monde sert la naissance d’une œuvre et celle d’un enfant, l’artiste participe à la création de la vie.
C’est ce que fait Dr Nicolas Baaklini, avec tant de talent et de passion.
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