Le chef de la diplomatie hongroise Peter Szijjarto a reçu à Budapest le chef du Courant patriotique libre Gebrane Bassil.
Le chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil a mis en garde contre une nouvelle vague d'exode syrienne, soulignant à ce sujet la nécessité de trouver une solution à la crise des déplacés syriens au Liban, en leur assurant un retour digne dans leur pays d’origine.
M. Bassil a tenu ces propos au cours d'une conférence de presse conjointe tenue à Budapest avec le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto. Il a remercié à cette occasion son hôte pour son soutien au pays des Cèdres et au CPL, car "la loyauté est devenue une monnaie rare dans les relations politiques". Il a salué dans ce cadre la relation de coopération entre son parti et celui de l'Union civile hongroise.
Le député de Batroun a également évoqué l'impact de la guerre en Ukraine sur l'économie mondiale, en particulier sur la sécurité alimentaire et énergétique, estimant que "la solution ne repose pas nécessairement sur une politique de sanctions, mais sur le dialogue".
M. Bassil a conclu son intervention en se penchant sur le dossier de la délimitation de la frontière maritime avec Israël, soulignant que "tout accord doit garantir au Liban le droit d’exploiter ses richesses gazières et pétrolières".
De son côté, le chef de la diplomatie hongroise a souhaité la bienvenue à celui qu'il a qualifié de "plus grand dirigeant du parti chrétien libanais", soulignant que la réunion s’inscrit dans le cadre des événements internationaux qui affectent la Hongrie ainsi que les pays voisins. Et M. Szijjarto d’ajouter : "Tous ces facteurs contribuent à l'inflation au niveau de l’économie mondiale et menacent la sécurité énergétique, ce qui se répercute sur les pays non-européens".
Le ministre hongrois a toutefois relevé que la seule solution à ces problèmes est de recourir aux méthodes de négociation, de dialogue et de paix, exprimant en outre sa crainte de voir une nouvelle vague de migration en provenance des pays du Moyen-Orient vers l'Europe. Et de conclure : "L'Union européenne devra changer sa politique envers le Liban et mettre fin à la menace d'une politique de sanctions, en privilégiant la composante chrétienne".
Le chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil a mis en garde contre une nouvelle vague d'exode syrienne, soulignant à ce sujet la nécessité de trouver une solution à la crise des déplacés syriens au Liban, en leur assurant un retour digne dans leur pays d’origine.
M. Bassil a tenu ces propos au cours d'une conférence de presse conjointe tenue à Budapest avec le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto. Il a remercié à cette occasion son hôte pour son soutien au pays des Cèdres et au CPL, car "la loyauté est devenue une monnaie rare dans les relations politiques". Il a salué dans ce cadre la relation de coopération entre son parti et celui de l'Union civile hongroise.
Le député de Batroun a également évoqué l'impact de la guerre en Ukraine sur l'économie mondiale, en particulier sur la sécurité alimentaire et énergétique, estimant que "la solution ne repose pas nécessairement sur une politique de sanctions, mais sur le dialogue".
M. Bassil a conclu son intervention en se penchant sur le dossier de la délimitation de la frontière maritime avec Israël, soulignant que "tout accord doit garantir au Liban le droit d’exploiter ses richesses gazières et pétrolières".
De son côté, le chef de la diplomatie hongroise a souhaité la bienvenue à celui qu'il a qualifié de "plus grand dirigeant du parti chrétien libanais", soulignant que la réunion s’inscrit dans le cadre des événements internationaux qui affectent la Hongrie ainsi que les pays voisins. Et M. Szijjarto d’ajouter : "Tous ces facteurs contribuent à l'inflation au niveau de l’économie mondiale et menacent la sécurité énergétique, ce qui se répercute sur les pays non-européens".
Le ministre hongrois a toutefois relevé que la seule solution à ces problèmes est de recourir aux méthodes de négociation, de dialogue et de paix, exprimant en outre sa crainte de voir une nouvelle vague de migration en provenance des pays du Moyen-Orient vers l'Europe. Et de conclure : "L'Union européenne devra changer sa politique envers le Liban et mettre fin à la menace d'une politique de sanctions, en privilégiant la composante chrétienne".
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