Michel Platini a affirmé vendredi qu'il ne reviendrait pas à la Fifa après son acquittement dans l'affaire d'escroquerie qui avait brisé en 2015 ses ambitions d'accéder à la tête du football mondial.
"C'est terminé", a répondu l'ancien footballeur et ex-président de l'UEFA interrogé sur LCI sur un éventuel retour au sein de la Fédération internationale du football.
Il a indiqué avoir déposé plainte en France pour faire la lumière sur l'origine des accusations de paiement illégal qui lui ont valu d'être jugé. "Il y en a quelques-uns qui m'ont tué", a-t-il affirmé, ajoutant qu'il était animé "un peu par la revanche".
"Ceux qui étaient en place ne voulaient pas que je vienne, ils n'ont pas souhaité que quelqu'un d'autre vienne voir ce qui se passe", a-t-il lancé, tout en ajoutant qu'il ne "savait pas" de qui il s'agissait.
"Ceux qui m'ont lâché ce sont les politiques du football. Ils ont pris ma place, à l'UEFA, à la Fifa, ils ont tous eu des augmentations, ils ont eu des avantages à ce que je ne sois plus là".
Il a estimé que Sepp Blatter, ancien président de la Fifa jugé et acquitté avec lui, a été "un très bon président, jusqu'au jour où il m'a dit qu'il voulait mourir à la Fifa. A partir de là, il a essayé de créer des problèmes avec tous ceux qui avaient l'intention un jour de le remplacer et à partir de là, cela s'est mal passé".
Le vainqueur de l'Euro avec l'équipe de France en 1984 et de la C1 en 1985 avec la Juventus, aujourd'hui âgé de 67 ans, a écarté toute éventualité de reprendre des responsabilités de dirigeant au sein du monde du football.
"J'ai envie de vivre un peu tranquille", a-t-il confié. "J'ai décidé de ne pas me présenter à la Fifa, de ne pas me présenter à l'UEFA, j'ai décidé de ne pas me présenter à la Fédération française de football. Ce sont des décisions que j'ai prises depuis longtemps mais je voulais pouvoir le dire la tête haute, pas sous le coup d'une inculpation, d'un truc bidon."
"S'il y a quelque chose d'intéressant à faire pour le football, je le ferais mais pas dans ces institutions, je n'ai pas envie de retourner dans ce monde-là", a-t-il encore assuré.
"C'est terminé", a répondu l'ancien footballeur et ex-président de l'UEFA interrogé sur LCI sur un éventuel retour au sein de la Fédération internationale du football.
Il a indiqué avoir déposé plainte en France pour faire la lumière sur l'origine des accusations de paiement illégal qui lui ont valu d'être jugé. "Il y en a quelques-uns qui m'ont tué", a-t-il affirmé, ajoutant qu'il était animé "un peu par la revanche".
"Ceux qui étaient en place ne voulaient pas que je vienne, ils n'ont pas souhaité que quelqu'un d'autre vienne voir ce qui se passe", a-t-il lancé, tout en ajoutant qu'il ne "savait pas" de qui il s'agissait.
"Ceux qui m'ont lâché ce sont les politiques du football. Ils ont pris ma place, à l'UEFA, à la Fifa, ils ont tous eu des augmentations, ils ont eu des avantages à ce que je ne sois plus là".
Il a estimé que Sepp Blatter, ancien président de la Fifa jugé et acquitté avec lui, a été "un très bon président, jusqu'au jour où il m'a dit qu'il voulait mourir à la Fifa. A partir de là, il a essayé de créer des problèmes avec tous ceux qui avaient l'intention un jour de le remplacer et à partir de là, cela s'est mal passé".
Le vainqueur de l'Euro avec l'équipe de France en 1984 et de la C1 en 1985 avec la Juventus, aujourd'hui âgé de 67 ans, a écarté toute éventualité de reprendre des responsabilités de dirigeant au sein du monde du football.
"J'ai envie de vivre un peu tranquille", a-t-il confié. "J'ai décidé de ne pas me présenter à la Fifa, de ne pas me présenter à l'UEFA, j'ai décidé de ne pas me présenter à la Fédération française de football. Ce sont des décisions que j'ai prises depuis longtemps mais je voulais pouvoir le dire la tête haute, pas sous le coup d'une inculpation, d'un truc bidon."
"S'il y a quelque chose d'intéressant à faire pour le football, je le ferais mais pas dans ces institutions, je n'ai pas envie de retourner dans ce monde-là", a-t-il encore assuré.
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