Un ancien dirigeant aouniste révèle que le Courant patriotique libre a ouvert une permanence à Damas, près du bâtiment de l’ambassade libanaise, après l’élection de Michel Aoun à la présidence de la République en octobre 2016. Ce bureau était dirigé par l’ancien ministre Pierre Raffoul, un chantre de l’alliance des minorités, qui se rendait à Damas chaque semaine et entretenait des relations soutenues avec les autorités syriennes, d’où sa nomination en tant que ministre d’État pour les affaires présidentielle à l’époque, en sa qualité de messager entre Baabda et le palais des Mouhajirin. M. Raffoul poursuivrait toujours cette mission aujourd’hui, en dépit des réserves à cet égard du président syrien Bachar el-Assad, qui ne veut pas prêter le flanc à de nouvelles critiques arabes, notamment des pays du Golfe, américaines et européennes.
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