Le Groupe d’action financière (GAFI), un organisme de surveillance de la criminalité financière, a publié vendredi sa "liste grise" des pays faisant l’objet d’une surveillance particulière en raison de pratiques inadéquates au niveau de la prévention du blanchiment d’argent et du financement du terrorisme. Le Liban ne figure pas sur cette liste, alors qu’une première évaluation avait fait craindre le contraire.

La Commission spéciale d’enquête, cellule de renseignement financier du Liban relevant de la Banque du Liban a publié un communiqué le 26 mai, dans lequel elle expliquait que le Liban s’était vu accorder un délai pour mettre en place des dispositions financières, monétaires et bancaires afin d’éviter d’être placé sur "la liste grise" du GAFI en tant que pays qui ne coopère pas. Il devra soumettre en 2024 au Groupe d’action financière sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (MENAFATF), un rapport sur l’état d’avancement de ses efforts sur ce plan.

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