Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a parrainé, vendredi, le lancement par le ministère de l'Agriculture du Plan de développement du secteur de la pêche et de l'aquaculture au Grand Sérail.
La cérémonie s'est déroulée en présence de plusieurs ministres sortants, dont celui de l'Agriculture, Abbas Hajj Hassan, ainsi que d'un certain nombre d'ambassadeurs, chefs de missions diplomatiques, organisations internationales et personnalités économiques.
Le Premier ministre a rappelé que depuis toujours, le Liban est réputé pour ses ports de pêche, les premiers de la région. Il a également noté que la richesse halieutique du pays constitue une ressource économique essentielle, mais qu'elle requiert des soins et une planification appropriés.
M. Hajj Hassan a indiqué que ce projet de pisciculture et de développement des poissons marins et fluviaux vise à renforcer le secteur de la pêche. Il a assuré que 45.000 familles y travaillent sans soutien depuis longtemps. De plus, une étude menée en collaboration avec l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et des experts turcs a confirmé la présence de 400 espèces de poissons dans les eaux territoriales libanaises, offrant ainsi un potentiel commercial prometteur. Actuellement, le Liban importe 85% de sa consommation de poisson, mais M. Hajj Hassan estime qu’en deux ans, le pays pourrait atteindre une certaine autosuffisance dans ce domaine. Il a également précisé que le secteur privé était invité à investir, que ce soit dans la pêche fluviale ou marine.
La cérémonie s'est déroulée en présence de plusieurs ministres sortants, dont celui de l'Agriculture, Abbas Hajj Hassan, ainsi que d'un certain nombre d'ambassadeurs, chefs de missions diplomatiques, organisations internationales et personnalités économiques.
Le Premier ministre a rappelé que depuis toujours, le Liban est réputé pour ses ports de pêche, les premiers de la région. Il a également noté que la richesse halieutique du pays constitue une ressource économique essentielle, mais qu'elle requiert des soins et une planification appropriés.
M. Hajj Hassan a indiqué que ce projet de pisciculture et de développement des poissons marins et fluviaux vise à renforcer le secteur de la pêche. Il a assuré que 45.000 familles y travaillent sans soutien depuis longtemps. De plus, une étude menée en collaboration avec l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et des experts turcs a confirmé la présence de 400 espèces de poissons dans les eaux territoriales libanaises, offrant ainsi un potentiel commercial prometteur. Actuellement, le Liban importe 85% de sa consommation de poisson, mais M. Hajj Hassan estime qu’en deux ans, le pays pourrait atteindre une certaine autosuffisance dans ce domaine. Il a également précisé que le secteur privé était invité à investir, que ce soit dans la pêche fluviale ou marine.
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