Au cours d’une cérémonie religieuse, le numéro 2 du Hezbollah Naim Kassem a insisté sur le fait que la “Résistance” est une “constante du Liban” et que personne ne peut s’en prendre à elle car “elle fait partie du triptyque armée-peuple-résistance et elle fait face aux projets de divisions, d’occupation ou d’implantation”.
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah a affirmé dans ce cadre que tout débat sur la “Résistance” est un débat sur le Liban et sans les armes du Hezbollah, le pays serait faible et ne serait pas “souverain, libre et indépendant”. Concernant les élections législatives et les rumeurs selon lesquelles le Hezbollah ne voudrait pas qu’elles soient organisées, Naim Kassem a démenti ces allégations assurant que le parti a déjà formé une équipe pour les préparatifs électoraux.
Par ailleurs, le responsable chiite a critiqué la dernière décision de la Banque centrale de relever le “lollar” à 8000 livres libanaises. Il a accusé à ce propos le gouverneur de la BDL, Riad Salamé, de “collusion avec les banques”, lui faisant assumer la responsabilité de la crise actuelle.

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