Le président de l’Ordre des pharmaciens du Liban, Joe Salloum a déclaré lundi " que le médicament est une question de vie ou de mort ", soulignant qu’il " serait meilleur de dollariser le prix des médicaments que de laisser le patient mourir ou l’humilier".

Intervenant sur les ondes de Voix du Liban, M. Salloum a martelé " que l’on ne peut pas dissimuler les médicaments ", appelant à " les livrer aux pharmacies qui sont à deux doigts de la faillite ".

Il a également appelé les pharmaciens à " la grève ouverte et à la désobéissance civile, jusqu’à ce qu’un président de la République soit élu ainsi qu’à l’élaboration d’une feuille de route ".