L’ancien vice-président du Conseil des ministres et ancien ministre de l’Intérieur et de la Défense, Élias Murr, a décidé de quitter l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol) «après dix ans à la tête» de Fondation Interpol pour un monde plus sûr et «avant la fin de son mandat, prévu en 2028». Et ce, «en accord avec le secrétaire général d’Interpol, M. Jürgen Stock», d’après le bureau de M. Murr.
Le bureau rappelle, à cet égard, que M. Murr «a élaboré le plan stratégique pour soutenir Interpol et mis en œuvre sept programmes mondiaux de sécurité dont ont bénéficié 195 pays». Parmi ces programmes, figurent notamment la stratégie mondiale de lutte contre le terrorisme, le projet de lutte contre le trafic transfrontalier de stupéfiants (AMEAP), la plate-forme de partage d’informations sur la cybercriminalité, ainsi que des initiatives de lutte contre la contrebande, le trafic humain et l’abus sexuel des enfants en ligne ou encore la protection du patrimoine culturel.
D’après le communiqué, «l’organisation et la Fondation Interpol ont publié un rapport mettant en avant les initiatives et réalisations majeures accomplies sous la direction de M. Murr, en matière de lutte contre le terrorisme et le crime organisé, englobant 195 pays».
Le bureau rappelle, à cet égard, que M. Murr «a élaboré le plan stratégique pour soutenir Interpol et mis en œuvre sept programmes mondiaux de sécurité dont ont bénéficié 195 pays». Parmi ces programmes, figurent notamment la stratégie mondiale de lutte contre le terrorisme, le projet de lutte contre le trafic transfrontalier de stupéfiants (AMEAP), la plate-forme de partage d’informations sur la cybercriminalité, ainsi que des initiatives de lutte contre la contrebande, le trafic humain et l’abus sexuel des enfants en ligne ou encore la protection du patrimoine culturel.
D’après le communiqué, «l’organisation et la Fondation Interpol ont publié un rapport mettant en avant les initiatives et réalisations majeures accomplies sous la direction de M. Murr, en matière de lutte contre le terrorisme et le crime organisé, englobant 195 pays».
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