Selon les sources citées par l’agence Al-Markazia, le projet de recommandations parlementaires au sujet de la présence massive syrienne au Liban, notamment illégale, comprendrait neuf points et aurait été remis au gouvernement.

De même source, on affirme que dans le texte, les parlementaires demandent au Cabinet de traiter la crise des Syriens dans un délai maximal d’un an et réclament que les aides financières destinées aux déplacés syriens leur soient transférées en Syrie.

Le document réaffirme aussi que le Liban n’est pas un pays d’asile et inclut un appel au gouvernement pour qu’il communique avec toutes les parties concernées par le dossier des Syriens, y compris le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et le gouvernement syrien, afin de régler le dossier des migrants et des déplacés.

Ces informations interviennent à la veille de la séance parlementaire convoquée par le président de la Chambre, Nabih Berry, et destinée à discuter de la question de la présence syrienne massive au Liban et du don européen contesté.