
La recette économique de Donald Trump est désormais bien connue, un cocktail explosif de taxes douanières! Et une menace qui fait frémir les viticulteurs et distillateurs européens: jusqu’à 200% de taxes sur le vin et les spiritueux. Comme on dirait en Écosse: “C’est un peu plus aigre qu’un bon whisky sans glace!”
Le président Donald Trump, qui ne rate jamais une occasion de secouer les marchés mondiaux, a décidé de taper fort en imposant de nouveaux droits de douane sur certaines marchandises. Parmi les plus touchées, les vins, les champagnes et le whisky écossais. Oui, l’Écosse, ce pays qui a vu naître… sa mère! Le fruit ne tombe jamais loin de l'arbre, dit-on, mais là, il semble que le fruit a mis un peu de temps à tomber, en tout cas du côté des distilleries écossaises.
En Écosse, c’est la tempête! Le whisky single malt, ce nectar légendaire, doit une grande partie de son succès aux exportations vers l’Amérique. Si une guerre économique venait à éclater, les distilleries écossaises se feraient secouer et pourraient se retrouver à court de “spiritueux” et par conséquent d'argent. Avec ces nouveaux droits de douane, qui se traduisent par des menaces de surtaxe de 200% sur le whisky écossais, l’industrie locale pourrait bientôt se retrouver dans une situation aussi tragique qu'un birdie raté. Les distilleries écossaises, déjà perturbées par la crise, doivent maintenant jongler avec des coûts qui risquent de les mener tout droit à la faillite. Imaginez-vous un whisky de 12 ans d'âge se retrouvant derrière les barreaux des taxes de Trump!
Les distilleries, qui sont l’âme même de la culture écossaise, devront désormais compter sur les poches profondes des amateurs de whisky du monde entier. Mais soyons réalistes: si les prix montent en flèche à cause de ces droits de douane, il est fort probable que même le plus passionné des fans de Scotch devra revoir sa consommation… à la baisse. En gros, ces distilleries risquent de devoir “diluer” leur production…
Et pour couronner le tout, la France et l’Italie, pays célèbres pour leurs vins et champagnes, ne sont pas en reste. Trump s’attaque à leur passion viticole avec des menaces de taxes sévères. Les viticulteurs de Bordeaux, de Champagne et de Toscane pourraient donc être contraints de laisser leur “cuvée” dans un coin et de se concentrer sur des projets moins rentables. Oui, fini le dîner à la française avec un bon Bordeaux ou un dîner romantique à l'italienne accompagné d'un Prosecco pétillant. Ces bouteilles sont également menacées de droits de douane de 200%, ce qui fait équivaut un peu à une cuvée ratée.
Le principal syndicat agricole italien, Coldiretti, a tiré jeudi la sonnette d'alarme, révélant que les exportations de vin vers les États-Unis sont bloquées, par crainte des droits de douane imminents. Selon Coldiretti, cela pourrait coûter six millions d'euros par jour aux producteurs italiens. Les exportateurs hésitent à expédier des cargaisons de vin, craignant que, pendant le trajet, les droits de douane ne soient appliqués, rendant ainsi non compétitifs leurs prix à l'arrivée. Les importateurs américains, dans l’incertitude, attendent des clarifications de l’administration Trump avant de passer leurs commandes.
Il convient de rappeler dans ce cadre que les exportations italiennes de vin vers les États-Unis ont connu une forte hausse ces dernières années, atteignant 1,9 milliard d'euros en 2024. Cependant, une surtaxe de 200% pourrait faire chuter ces exportations de 70 à 80%. Cette menace met en danger près de 40.000 entreprises et 460.000 employés, selon Federvini, fédération des vins et spiritueux.
Il semble donc que la politique commerciale de Trump ait mis le whisky écossais et les vins européens dans une position… plutôt amère. Si ces droits de douane sont maintenus, ce ne sont pas que les distilleries qui trinqueront. C’est tout un patrimoine culturel européen qui risquera de se retrouver dans une “faillite en bouteille”. Reste à savoir si Trump reviendra sur ses décisions avant que tout le monde se retrouve à boire de l'eau plate!
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