
Le patriarche maronite, le cardinal Bechara Raï, a indiqué que “nous vivons sous un système démocratique parlementaire et un accord national”, expliquant que, jusqu'aux années 1970, le pluralisme, le fédéralisme et la centralisation étaient des mots étrangers dans notre lexique politique et constitutionnel.
Dans son sermon lors de la messe dominicale à Bkerké, il a souligné que “l'objectif de certains est de contrôler l'État et non de moderniser le système”, spécifiant que “certains qui appellent à changer la constitution visent à étendre leur pouvoir au sein de l'État et non à améliorer celui-ci”, considérant que “le rôle du citoyen est absent au Liban”.
“Ce qu'il faut, a-t-il ajouté, c'est que les communautés cèdent à l'État, et non l'État aux communautés.”
Commentaires