Le ministre sortant de l’Intérieur Bassam Maoulaoui a affirmé que le principal problème des prisons réside "dans la surpopulation carcérale", tout en assurant qu’aucun cas de choléra n’a été détecté dans les centres de détention, selon le ministère de la Santé.
Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une réunion présidée par le Premier ministre sortant Najib Mikati sur la situation carcérale, en présence notamment des ministres sortants de la Justice et de la Santé, Bassam Maoulaoui a souligné que des "mesures judiciaires permettant l’accélération des procès ont été examinés" avec le ministre sortant de la Justice, Henry Khoury. Il a également assuré que "toutes les mesures nécessaires seront prises pour désinfecter les aliments et l’eau" afin d'éviter tout cas de choléra.
La situation des prisons était au centre d’un atelier de travail le 12 septembre dernier. Le ministre sortant de l’Intérieur avait au préalable demandé à la Chambre d’étudier un projet de loi pour réduire la durée de l’année carcérale. Répondant à une question à ce sujet, Bassam Maoulaoui a précisé que l’affaire est entre les mains du Parlement, et que le président de la Chambre "a promis de le mettre à l’ordre du jour d’une prochaine séance législative".
Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une réunion présidée par le Premier ministre sortant Najib Mikati sur la situation carcérale, en présence notamment des ministres sortants de la Justice et de la Santé, Bassam Maoulaoui a souligné que des "mesures judiciaires permettant l’accélération des procès ont été examinés" avec le ministre sortant de la Justice, Henry Khoury. Il a également assuré que "toutes les mesures nécessaires seront prises pour désinfecter les aliments et l’eau" afin d'éviter tout cas de choléra.
La situation des prisons était au centre d’un atelier de travail le 12 septembre dernier. Le ministre sortant de l’Intérieur avait au préalable demandé à la Chambre d’étudier un projet de loi pour réduire la durée de l’année carcérale. Répondant à une question à ce sujet, Bassam Maoulaoui a précisé que l’affaire est entre les mains du Parlement, et que le président de la Chambre "a promis de le mettre à l’ordre du jour d’une prochaine séance législative".
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