Le Rassemblement de Saydet el-Jabal a critiqué l’appel du président de la Chambre, Nabih Berry, à un dialogue pour dégager un consensus autour de la présidentielle si jamais le mandat président Michel Aoun se termine sans que le Parlement arrive à élire un nouveau chef de l’État.
Pour Saydet el-Jabal, M. Berry a « commencé à promouvoir l’idée d’un dialogue ouvert sur instructions du Hezbollah, afin d’assurer une majorité parlementaire favorable à un candidat consensuel ». « Le but étant que la formation chiite puisse imposer une personnalité de son choix », a indiqué ce rassemblement de l’opposition dans un communiqué qu’il a fait paraître au terme de sa réunion électronique hebdomadaire
« Il est quand même étrange que les blocs parlementaires se concertent au sujet de l’élection d’un nouveau président au lieu de l’élire dans les délais constitutionnels », a poursuivi Saydet el-Jabal.
Pour ce rassemblement, « une invitation à un dialogue est en elle-même une neutralisation du rôle des institutions constitutionnelles ». « Elle porte atteinte aux fondements du système démocratique libanais. Le président Nabih Berry ferait mieux d’exercer des pressions sur les membres de son bloc parlementaire et des blocs alliés pour qu’ils cessent de provoquer un défaut de quorum », selon le communiqué.
Pour Saydet el-Jabal, M. Berry a « commencé à promouvoir l’idée d’un dialogue ouvert sur instructions du Hezbollah, afin d’assurer une majorité parlementaire favorable à un candidat consensuel ». « Le but étant que la formation chiite puisse imposer une personnalité de son choix », a indiqué ce rassemblement de l’opposition dans un communiqué qu’il a fait paraître au terme de sa réunion électronique hebdomadaire
« Il est quand même étrange que les blocs parlementaires se concertent au sujet de l’élection d’un nouveau président au lieu de l’élire dans les délais constitutionnels », a poursuivi Saydet el-Jabal.
Pour ce rassemblement, « une invitation à un dialogue est en elle-même une neutralisation du rôle des institutions constitutionnelles ». « Elle porte atteinte aux fondements du système démocratique libanais. Le président Nabih Berry ferait mieux d’exercer des pressions sur les membres de son bloc parlementaire et des blocs alliés pour qu’ils cessent de provoquer un défaut de quorum », selon le communiqué.
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