Le Premier ministre sortant Najib Mikati a présidé une réunion mercredi matin consacrée aux problèmes du secteur de la santé au Liban avec notamment les ministres sortants de la Santé, Firas Abiad, du travail, Moustapha Bayram, des Finances, Youssef Khalil et le président du syndicat des hôpitaux privés, Sleiman Haroun.
À l’issue de la réunion, le ministre Bayram a annoncé que les dossiers concernant « les tarifs d’hospitalisation, la disponibilité des médicaments ainsi que les créances dues aux hôpitaux ont été discutés ». Et d’ajouter : « Il a été décider de suivre ces dossiers. Le premier ministre doit s’entretenir avec le gouverneur de la Banque centrale au sujet du payement des sommes dues à travers les banques, le ministre des Finances doit se charger des questions concernant les avances de payements et il a également été décidé d’organiser une réunion avec le directeur général de la mutuelle des fonctionnaires de l’État et le directeur général de la CNSS pour revoir la liste des médicaments qu’il faudrait subventionner en priorité. »
En d’autres termes, Najib Mikati et ses ministres sortants tentent de faire du rabibochage pour éviter de convoquer un Conseil des ministres alors que le gouvernement est démissionnaire. Des solutions au détail alors que le Liban a véritablement besoin d’un plan de redressement global qui adresserait toutes les problématiques auxquelles font face les Libanais dans leur quotidien depuis plusieurs années.
À l’issue de la réunion, le ministre Bayram a annoncé que les dossiers concernant « les tarifs d’hospitalisation, la disponibilité des médicaments ainsi que les créances dues aux hôpitaux ont été discutés ». Et d’ajouter : « Il a été décider de suivre ces dossiers. Le premier ministre doit s’entretenir avec le gouverneur de la Banque centrale au sujet du payement des sommes dues à travers les banques, le ministre des Finances doit se charger des questions concernant les avances de payements et il a également été décidé d’organiser une réunion avec le directeur général de la mutuelle des fonctionnaires de l’État et le directeur général de la CNSS pour revoir la liste des médicaments qu’il faudrait subventionner en priorité. »
En d’autres termes, Najib Mikati et ses ministres sortants tentent de faire du rabibochage pour éviter de convoquer un Conseil des ministres alors que le gouvernement est démissionnaire. Des solutions au détail alors que le Liban a véritablement besoin d’un plan de redressement global qui adresserait toutes les problématiques auxquelles font face les Libanais dans leur quotidien depuis plusieurs années.
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