«Nous avons fait bouger les choses et nous poursuivrons notre action jusqu’à l’élection d’un nouveau président de la République.» Tel est le message véhiculé par les députés Najat Saliba et Melhem Khalaf, qui poursuivent depuis jeudi soir un «sit-in» au sein du Parlement.
Les deux parlementaires, issus de la contestation, confient à Ici Beyrouth que leur objectif est de «sauver la démocratie et les institutions, et mettre un terme à la souffrance du peuple». Ils reconnaissent que les douze députés du changement éparpillent actuellement leurs votes entre quatre candidats à la présidentielle, mais soulignent qu’ils se soutiennent mutuellement.
Lundi, ils ont participé, avec de nombreux députés, à la réunion de la commission parlementaire des Finances et du Budget, qui s’est justement tenue dans l’hémicycle. Mais, lorsque les autres sont partis, eux deux sont restés et ne comptent pas quitter la Place de l’Étoile de sitôt.
Melhem Khalaf et Najat Saliba affirment être déterminés à rester au Parlement jusqu’à l’application de l’alinéa 2 de l’article 49 de la Constitution, qui prévoit la tenue de séances électorales successives.
«Nous aurons le souffle beaucoup plus long que quiconque», martèlent-ils.
Les deux parlementaires, issus de la contestation, confient à Ici Beyrouth que leur objectif est de «sauver la démocratie et les institutions, et mettre un terme à la souffrance du peuple». Ils reconnaissent que les douze députés du changement éparpillent actuellement leurs votes entre quatre candidats à la présidentielle, mais soulignent qu’ils se soutiennent mutuellement.
Lundi, ils ont participé, avec de nombreux députés, à la réunion de la commission parlementaire des Finances et du Budget, qui s’est justement tenue dans l’hémicycle. Mais, lorsque les autres sont partis, eux deux sont restés et ne comptent pas quitter la Place de l’Étoile de sitôt.
Melhem Khalaf et Najat Saliba affirment être déterminés à rester au Parlement jusqu’à l’application de l’alinéa 2 de l’article 49 de la Constitution, qui prévoit la tenue de séances électorales successives.
«Nous aurons le souffle beaucoup plus long que quiconque», martèlent-ils.
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