©L'attaquant de Naples Victor Osimhen (à droite) face au Hellas Vérone samedi au stade Maradona. Andreas Solaro/AFP
L'Italie détient la palme du suspense avant le choc entre Naples et l'AC Milan, mardi (22h00, Beyrouth), assurément le plus indécis des quarts de finale retour de Ligue des champions, où le Real Madrid, Manchester City et l'Inter Milan s'avancent avec assurance.
L'AC Milan déboule dans le sud de la Botte fort de l'avantage acquis à l'aller (1-0), mais il faudra résister aux vents contraires: un stade Diego-Maradona bouillant, rempli par près de 55.000 spectateurs et ragaillardi par le retour de blessure de l'attaquant vedette Victor Osimhen.
Les tifosi du Napoli misent en grande partie sur le Nigérian, grand absent la semaine dernière à cause d'une gêne musculaire, pour renverser les Rossoneri et forcer la porte des demi-finales, ce qui serait une performance inédite.
L'ancien Lillois, actuel meilleur buteur de la Serie A, a retrouvé les terrains en même temps que son complice, l'ailier géorgien Khvicha Kvaratskhelia, samedi lors du match nul contre le relégable Vérone (0-0), où ils ont tous deux été lancés en seconde période.
Les Milanais n'ont pas fait mieux à Bologne (1-1), mais Stefano Pioli avait aligné une équipe B, avec le seul Mike Maignan maintenu dans la cage, pour reposer ses forces vives et ne pas laisser filer une place en demi-finale, attendue depuis 2007.
Climat vicié au Bayern
Chelsea et le Real Madrid, sacrés en 2021 et 2022 respectivement, ont davantage l'habitude d'évoluer dans ces hauteurs. Un de ces deux géants européens sera néanmoins mis au tapis, mardi à l'issue de leur combat en Angleterre.
A Stamford Bridge, les Espagnols débarquent avec l'élan du match aller (2-0), face à des "Blues" sortis groggys de leurs six derniers matches sans victoire, toutes compétitions confondues.
Les hommes de Frank Lampard, encore battus samedi par Brighton, seront probablement transcendés par la petite musique de la Ligue des champions, devant leur public. Mais le Real de Karim Benzema n'est pas du genre à dilapider son capital européen si facilement.
De la même manière, le suspense n'apparaît pas très épais concernant les deux derniers quarts de finale retour, mercredi (22h00): l'Inter Milan s'est imposée 2-0 à Lisbonne contre Benfica, tandis que Manchester City a grignoté le Bayern Munich 3-0 à domicile.
Le club allemand peut-il renverser les Citizens? L'atmosphère n'est pas propice à un exploit du côté du Rekordmeister, ralenti samedi par Hoffenheim (1-1) et refroidi par l'altercation entre Sadio Mané et Leroy Sané après la lourde défaite à l'Etihad Stadium.
Le coup de sang du Sénégalais a pollué l'atmosphère chez les Bavarois avant la manche retour. Pas l'idéal avant de retrouver Erling Haaland, l'actuel meilleur buteur de la compétition (11 buts), encore crédité d'un doublé ce week-end en Premier League...
Du côté de l'Inter Milan, l'espoir d'une première demi-finale depuis 2010, année de son dernier sacre en C1, n'a jamais été aussi grand. Les Nerazzurri soufflent le chaud et le froid en championnat et misent sur l'Europe pour conserver des étoiles dans les yeux.
En face, Benfica veut croire en ses chances. "Deux buts d'écart, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux, mais nous devons y croire", a lancé l'entraîneur Roger Schmidt après la manche aller.
Mais depuis, ses Aigles ont encore piqué du nez, contre Chaves (défaite 1-0) samedi en Liga portugaise, soit leur troisième revers d'affilée.
L'AC Milan déboule dans le sud de la Botte fort de l'avantage acquis à l'aller (1-0), mais il faudra résister aux vents contraires: un stade Diego-Maradona bouillant, rempli par près de 55.000 spectateurs et ragaillardi par le retour de blessure de l'attaquant vedette Victor Osimhen.
Les tifosi du Napoli misent en grande partie sur le Nigérian, grand absent la semaine dernière à cause d'une gêne musculaire, pour renverser les Rossoneri et forcer la porte des demi-finales, ce qui serait une performance inédite.
L'ancien Lillois, actuel meilleur buteur de la Serie A, a retrouvé les terrains en même temps que son complice, l'ailier géorgien Khvicha Kvaratskhelia, samedi lors du match nul contre le relégable Vérone (0-0), où ils ont tous deux été lancés en seconde période.
Les Milanais n'ont pas fait mieux à Bologne (1-1), mais Stefano Pioli avait aligné une équipe B, avec le seul Mike Maignan maintenu dans la cage, pour reposer ses forces vives et ne pas laisser filer une place en demi-finale, attendue depuis 2007.
Climat vicié au Bayern
Chelsea et le Real Madrid, sacrés en 2021 et 2022 respectivement, ont davantage l'habitude d'évoluer dans ces hauteurs. Un de ces deux géants européens sera néanmoins mis au tapis, mardi à l'issue de leur combat en Angleterre.
A Stamford Bridge, les Espagnols débarquent avec l'élan du match aller (2-0), face à des "Blues" sortis groggys de leurs six derniers matches sans victoire, toutes compétitions confondues.
Les hommes de Frank Lampard, encore battus samedi par Brighton, seront probablement transcendés par la petite musique de la Ligue des champions, devant leur public. Mais le Real de Karim Benzema n'est pas du genre à dilapider son capital européen si facilement.
De la même manière, le suspense n'apparaît pas très épais concernant les deux derniers quarts de finale retour, mercredi (22h00): l'Inter Milan s'est imposée 2-0 à Lisbonne contre Benfica, tandis que Manchester City a grignoté le Bayern Munich 3-0 à domicile.
Le club allemand peut-il renverser les Citizens? L'atmosphère n'est pas propice à un exploit du côté du Rekordmeister, ralenti samedi par Hoffenheim (1-1) et refroidi par l'altercation entre Sadio Mané et Leroy Sané après la lourde défaite à l'Etihad Stadium.
Le coup de sang du Sénégalais a pollué l'atmosphère chez les Bavarois avant la manche retour. Pas l'idéal avant de retrouver Erling Haaland, l'actuel meilleur buteur de la compétition (11 buts), encore crédité d'un doublé ce week-end en Premier League...
Du côté de l'Inter Milan, l'espoir d'une première demi-finale depuis 2010, année de son dernier sacre en C1, n'a jamais été aussi grand. Les Nerazzurri soufflent le chaud et le froid en championnat et misent sur l'Europe pour conserver des étoiles dans les yeux.
En face, Benfica veut croire en ses chances. "Deux buts d'écart, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux, mais nous devons y croire", a lancé l'entraîneur Roger Schmidt après la manche aller.
Mais depuis, ses Aigles ont encore piqué du nez, contre Chaves (défaite 1-0) samedi en Liga portugaise, soit leur troisième revers d'affilée.
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