©(AFP PHOTO/IRANIAN PRESIDENCY)
Au cours de sa deuxième journée de visite en Syrie, le président iranien Ebrahim Raïssi a appelé à l'unité des "forces de la résistance" face à Israël. Une déclaration à l'occasion d'une rencontre avec un groupe de "Commandants de la résistance palestiniens" au palais présidentiel de Damas.
L'unité des "forces de la résistance" est "plus que jamais nécessaire" face à Israël, a déclaré jeudi Ebrahim Raïssi, au deuxième jour de sa visite à Damas, la première d'un président iranien en Syrie depuis 2010.
"Aujourd'hui plus que jamais, l'unité et la cohésion des forces de la résistance, de la région et du monde islamique sont nécessaires pour accélérer la défaite du régime sioniste", a souligné M. Raïssi lors d'une rencontre avec un groupe de "Commandants de la résistance palestiniens" au palais présidentiel à Damas, dans un contexte de réchauffement diplomatique régional, selon l'agence officielle iranienne IRNA.
"L'axe de la résistance" est le terme employé pour évoquer les mouvements palestiniens, libanais, syriens et autres, opposés à Israël et proches de l'Iran qui leur fournit un soutien financier et logistique.
Ennemi juré d'Israël, l'Iran est l'un des principaux alliés de la Syrie, pays déchiré par une guerre civile depuis 12 ans. Téhéran n'a jamais cessé de fournir un soutien économique, politique et militaire au régime du président Bachar al-Assad, contribuant à faire basculer le conflit en faveur de ce dernier.
M. Raïssi avait affirmé mercredi que la Syrie de M. Assad, avec lequel il a signé le même jour un protocole d'accord pour un plan de coopération stratégique dans plusieurs domaines, avait "remporté la victoire malgré les menaces et les sanctions".
Jeudi, M. Raïssi devrait également assister à un forum réunissant des hommes d'affaires des deux pays.
Le récent rapprochement inattendu entre l'Arabie saoudite et l'Iran bénéficie au président Assad, qui s'efforce de mettre fin à plus d'une décennie d'isolement diplomatique.
Depuis 2019, l'intensité des combats en Syrie a nettement baissé. Grâce à ses alliés russes et iraniens, le régime syrien contrôle aujourd'hui la majorité des territoires perdus après le début du conflit en 2011, qui a fait plus de 500 000 morts.
M. Assad s'était rendu en Iran en mai 2022, pour la deuxième fois depuis 2011.
Avec AFP
L'unité des "forces de la résistance" est "plus que jamais nécessaire" face à Israël, a déclaré jeudi Ebrahim Raïssi, au deuxième jour de sa visite à Damas, la première d'un président iranien en Syrie depuis 2010.
"Aujourd'hui plus que jamais, l'unité et la cohésion des forces de la résistance, de la région et du monde islamique sont nécessaires pour accélérer la défaite du régime sioniste", a souligné M. Raïssi lors d'une rencontre avec un groupe de "Commandants de la résistance palestiniens" au palais présidentiel à Damas, dans un contexte de réchauffement diplomatique régional, selon l'agence officielle iranienne IRNA.
"L'axe de la résistance" est le terme employé pour évoquer les mouvements palestiniens, libanais, syriens et autres, opposés à Israël et proches de l'Iran qui leur fournit un soutien financier et logistique.
Ennemi juré d'Israël, l'Iran est l'un des principaux alliés de la Syrie, pays déchiré par une guerre civile depuis 12 ans. Téhéran n'a jamais cessé de fournir un soutien économique, politique et militaire au régime du président Bachar al-Assad, contribuant à faire basculer le conflit en faveur de ce dernier.
M. Raïssi avait affirmé mercredi que la Syrie de M. Assad, avec lequel il a signé le même jour un protocole d'accord pour un plan de coopération stratégique dans plusieurs domaines, avait "remporté la victoire malgré les menaces et les sanctions".
Jeudi, M. Raïssi devrait également assister à un forum réunissant des hommes d'affaires des deux pays.
Le récent rapprochement inattendu entre l'Arabie saoudite et l'Iran bénéficie au président Assad, qui s'efforce de mettre fin à plus d'une décennie d'isolement diplomatique.
Depuis 2019, l'intensité des combats en Syrie a nettement baissé. Grâce à ses alliés russes et iraniens, le régime syrien contrôle aujourd'hui la majorité des territoires perdus après le début du conflit en 2011, qui a fait plus de 500 000 morts.
M. Assad s'était rendu en Iran en mai 2022, pour la deuxième fois depuis 2011.
Avec AFP
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