Les agriculteurs du Akkar ont arrêté lundi la récolte des pommes de terre pour cette saison qui s’étend d’avril jusqu’à début juin. Ils contestent les faibles profits qu’ils en tirent.
Le président de l’Union des agriculteurs du Akkar, Abdel Hamid Sakr, a fustigé lundi dans un communiqué les autorités, dénonçant «les bénéfices dérisoires» engendrés. Un problème qu’il impute aux importations en provenance d’Égypte et à la contrebande de Syrie par voie terrestre.
Dans ce cadre, il faut noter qu’un kilo de pommes de terre égyptiennes se vend à 10.000 LL, alors que le coût de production des pommes de terre libanaises se chiffre à plus 20.000 livres par kilo, ce qui justifie que le kilo soit vendu à plus de 30.000 livres.
Les agriculteurs ont fait assumer à l’État la responsabilité des pertes qu’ils subissent. Ils ont appelé les services de sécurité à assumer leur rôle et à empêcher la contrebande de pommes de terre.
Le président de l’Union des agriculteurs du Akkar, Abdel Hamid Sakr, a fustigé lundi dans un communiqué les autorités, dénonçant «les bénéfices dérisoires» engendrés. Un problème qu’il impute aux importations en provenance d’Égypte et à la contrebande de Syrie par voie terrestre.
Dans ce cadre, il faut noter qu’un kilo de pommes de terre égyptiennes se vend à 10.000 LL, alors que le coût de production des pommes de terre libanaises se chiffre à plus 20.000 livres par kilo, ce qui justifie que le kilo soit vendu à plus de 30.000 livres.
Les agriculteurs ont fait assumer à l’État la responsabilité des pertes qu’ils subissent. Ils ont appelé les services de sécurité à assumer leur rôle et à empêcher la contrebande de pommes de terre.
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