Le « Front souverainiste pour le Liban », qui a tenu jeudi sa réunion hebdomadaire, a souhaité aux Libanais de "sortir de l'enfer en mettant fin à l'hégémonie des armes iraniennes qui pèse sur la nation".
Le Front, qui regroupe notamment des représentants des Forces libanaises, du Parti National Liberal et du regroupement de Saydet el-Jabal, ainsi que le général Achraf Rifi, Peter Germanos et plusieurs personnalités souverainistes de premier plan, a estimé que « les interventions télévisées du président de la République (Michel Aoun) et de son héritier, le chef du Courant patriotique libre (Gebran Bassil), ne visaient qu’à présenter de nouvelles lettres de créance au Hezbollah et à la Syrie afin qu’ils les sauvent de la défaite populaire qui les attend en 2022 ».
Il a indiqué que l'invitation du président Aoun à une table de dialogue portant sur trois dossiers est « tardive » et « n’a pas lieu de se tenir à l’ombre de ce pouvoir dénué de crédibilité populaire, politique, et nationale requise pour gérer un quelconque dialogue ». « Le seul dialogue souhaité est celui qui résultera des urnes, afin d’instaurer un nouveau pouvoir capable de préserver la souveraineté du Liban et la prospérité des Libanais », a-t-il ajouté.
Le Front a estimé que « l'insistance du secrétaire général du Hezbollah (Hassan Nasrallah) à nuire aux relations étrangères du Liban, en particulier avec les États arabes du Golfe, souligne l’importance de la neutralité du Liban, et la nécessité de le garder à l’écart de la politique des axes et conflits régionaux et internationaux, et lui épargner les répercussions négatives des tensions et crises régionales, en application de l'article 12 de la déclaration de Baabda, que le Hezbollah a approuvée et signée en 2012 ».
« La seule solution », a conclu le Front, « réside dans l’établissement d’un véritable Etat qui déploie sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire et entretient d'excellentes relations avec tous les pays, notamment les pays arabes ».
Le Front, qui regroupe notamment des représentants des Forces libanaises, du Parti National Liberal et du regroupement de Saydet el-Jabal, ainsi que le général Achraf Rifi, Peter Germanos et plusieurs personnalités souverainistes de premier plan, a estimé que « les interventions télévisées du président de la République (Michel Aoun) et de son héritier, le chef du Courant patriotique libre (Gebran Bassil), ne visaient qu’à présenter de nouvelles lettres de créance au Hezbollah et à la Syrie afin qu’ils les sauvent de la défaite populaire qui les attend en 2022 ».
Il a indiqué que l'invitation du président Aoun à une table de dialogue portant sur trois dossiers est « tardive » et « n’a pas lieu de se tenir à l’ombre de ce pouvoir dénué de crédibilité populaire, politique, et nationale requise pour gérer un quelconque dialogue ». « Le seul dialogue souhaité est celui qui résultera des urnes, afin d’instaurer un nouveau pouvoir capable de préserver la souveraineté du Liban et la prospérité des Libanais », a-t-il ajouté.
Le Front a estimé que « l'insistance du secrétaire général du Hezbollah (Hassan Nasrallah) à nuire aux relations étrangères du Liban, en particulier avec les États arabes du Golfe, souligne l’importance de la neutralité du Liban, et la nécessité de le garder à l’écart de la politique des axes et conflits régionaux et internationaux, et lui épargner les répercussions négatives des tensions et crises régionales, en application de l'article 12 de la déclaration de Baabda, que le Hezbollah a approuvée et signée en 2012 ».
« La seule solution », a conclu le Front, « réside dans l’établissement d’un véritable Etat qui déploie sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire et entretient d'excellentes relations avec tous les pays, notamment les pays arabes ».
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