Le député Marc Daou a confirmé vendredi que l’opposition soutient «fermement» la candidature de l’ancien ministre Jihad Azour, ajoutant qu’il peut obtenir 65 voix si le second tour se tient.
Dans une interview à la radio «Voix de tout le Liban», M. Daou a souligné l’importance de la tenue du second tour d’élection présidentielle.
Il a indiqué que «le dialogue sert de prétexte au tandem Amal-Hezbollah pour se soustraire au second tour de l’élection présidentielle et pour bloquer directement le pays afin de gouverner seul et de remporter le tiers de blocage, que ce soit au gouvernement ou à la présidence».
La déclaration de M. Daou fait suite au communiqué publié jeudi soir par les «forces de l’opposition» dans lequel elles appellent toutes les parties politiques à se rassembler autour de la candidature de l’ancien ministre Jihad Azour. Elles soulignent que M. Azour «est le candidat que l’opposition prévoit de soutenir pour le faire accéder à la présidence afin de lancer le processus de sauvetage et relancer les institutions».
Les forces de l’opposition indiquent que «la séance électorale a établi que la majorité des représentants du peuple libanais rejettent le candidat imposé par la Moumanaa, qui n’a recueilli, malgré les efforts et les pressions exercées, que 51 voix contre 77 députés qui ont voté contre lui». «De plus, 59 députés ont voté pour le candidat centriste Jihad Azour, sur lequel différents blocs ont convergé afin de débloquer la situation», selon le communiqué.
«Si un second tour avait eu lieu, nous aurions un président aujourd’hui car un nombre de députés et de blocs avaient clairement annoncé leur intention de voter pour lui lors du second tour», peut-on lire aussi.
Les forces de l’opposition ont aussi relevé «la logique de domination et la méthode obstructive» dont fait preuve l’axe de la Moumanaa, «une méthode perfectionnée depuis des années, que nous nous efforçons d’affronter et qui a subi un revers retentissant en raison du résultat du vote du 14 juin».
Ce communiqué a été signé par 31 députés de l’opposition, appartenant aux blocs des Forces libanaises, des Kataëb, et du Renouveau, ainsi que des indépendants et des députés du Changement.
Dans une interview à la radio «Voix de tout le Liban», M. Daou a souligné l’importance de la tenue du second tour d’élection présidentielle.
Il a indiqué que «le dialogue sert de prétexte au tandem Amal-Hezbollah pour se soustraire au second tour de l’élection présidentielle et pour bloquer directement le pays afin de gouverner seul et de remporter le tiers de blocage, que ce soit au gouvernement ou à la présidence».
La déclaration de M. Daou fait suite au communiqué publié jeudi soir par les «forces de l’opposition» dans lequel elles appellent toutes les parties politiques à se rassembler autour de la candidature de l’ancien ministre Jihad Azour. Elles soulignent que M. Azour «est le candidat que l’opposition prévoit de soutenir pour le faire accéder à la présidence afin de lancer le processus de sauvetage et relancer les institutions».
Les forces de l’opposition indiquent que «la séance électorale a établi que la majorité des représentants du peuple libanais rejettent le candidat imposé par la Moumanaa, qui n’a recueilli, malgré les efforts et les pressions exercées, que 51 voix contre 77 députés qui ont voté contre lui». «De plus, 59 députés ont voté pour le candidat centriste Jihad Azour, sur lequel différents blocs ont convergé afin de débloquer la situation», selon le communiqué.
«Si un second tour avait eu lieu, nous aurions un président aujourd’hui car un nombre de députés et de blocs avaient clairement annoncé leur intention de voter pour lui lors du second tour», peut-on lire aussi.
Les forces de l’opposition ont aussi relevé «la logique de domination et la méthode obstructive» dont fait preuve l’axe de la Moumanaa, «une méthode perfectionnée depuis des années, que nous nous efforçons d’affronter et qui a subi un revers retentissant en raison du résultat du vote du 14 juin».
Ce communiqué a été signé par 31 députés de l’opposition, appartenant aux blocs des Forces libanaises, des Kataëb, et du Renouveau, ainsi que des indépendants et des députés du Changement.
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