Une délégation du bloc parlementaire de la République forte (Forces libanaises) a remis, jeudi, à l’ambassadeur d’Australie au Liban, Andrew Barnes, une pétition adressée aux États membres du Conseil des droits de l’homme (CDH), les appelant à «tenir compte des revendications du peuple libanais» et à «accélérer le processus visant la création d’une mission d’établissement des faits» en rapport avec l’explosion du 4 août 2020, au port de Beyrouth. Les signataires, au nombre de 291, sont des représentants d’organisations humanitaires et de défense des droits de l’homme, ainsi que des victimes ou des familles de victimes de la double explosion qui a fait 237 morts et plus de 7.500 blessés.
Saluant la position du haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, qui s’est dit favorable à une telle initiative, la délégation a demandé à M. Barnes de «transmettre cette requête urgente du peuple libanais au gouvernement australien et de soutenir le Liban dans sa quête de la vérité et dans le déliement de la justice libanaise».
On rappelle que M. Türk avait affirmé, dans un discours prononcé à l’ouverture de la 54ᵉ session du CDH, le 11 septembre dernier, qu’«il était peut-être temps d’envisager une mission d’établissement des faits» en rapport avec l’explosion au port de Beyrouth. Une assertion qui serait motivée par la déclaration commune en vertu de laquelle une trentaine d’États, dont la France et l’Australie, avaient précédemment encouragé la création d’une telle mission.
Saluant la position du haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, qui s’est dit favorable à une telle initiative, la délégation a demandé à M. Barnes de «transmettre cette requête urgente du peuple libanais au gouvernement australien et de soutenir le Liban dans sa quête de la vérité et dans le déliement de la justice libanaise».
On rappelle que M. Türk avait affirmé, dans un discours prononcé à l’ouverture de la 54ᵉ session du CDH, le 11 septembre dernier, qu’«il était peut-être temps d’envisager une mission d’établissement des faits» en rapport avec l’explosion au port de Beyrouth. Une assertion qui serait motivée par la déclaration commune en vertu de laquelle une trentaine d’États, dont la France et l’Australie, avaient précédemment encouragé la création d’une telle mission.
Lire aussi
Commentaires