Les transgressions commises par des Syriens se trouvant sur le territoire libanais se poursuivent dans un pays où un contrôle administratif est peu exercé. Des plaintes ont récemment été déposées en ce sens par des habitants de Beyrouth devant le député Hagop Terzian, en sa qualité d’ancien membre du conseil municipal de la capitale. Ils y dénoncent des actes à travers lesquels des déplacés syriens auraient violé et transformé une propriété de la municipalité de Beyrouth, sur la corniche du fleuve, en marché commercial et en lieu de rencontre pour les «voyous et les voleurs», comme indiqué par le député.
Dans un communiqué publié vendredi, M. Terzian a affirmé suivre cette affaire de près avec les habitants de la région et les autorités sécuritaires concernées. Il a également averti le mohafez de Beyrouth, Marwan Abboud, de la situation, qui lui a «promis de prendre les mesures judiciaires nécessaires pour régler le problème». Le député de Beyrouth a, par ailleurs, précisé que le terrain dont il est question a été «évacué en 2017 et mis sous scellés», mais que «pour des raisons mystérieuses, les scellés ont été levés en 2020 et les anciens occupants y sont retournés, sous la protection de certains hommes politiques connus du mohafazat de Beyrouth».
Dans un communiqué publié vendredi, M. Terzian a affirmé suivre cette affaire de près avec les habitants de la région et les autorités sécuritaires concernées. Il a également averti le mohafez de Beyrouth, Marwan Abboud, de la situation, qui lui a «promis de prendre les mesures judiciaires nécessaires pour régler le problème». Le député de Beyrouth a, par ailleurs, précisé que le terrain dont il est question a été «évacué en 2017 et mis sous scellés», mais que «pour des raisons mystérieuses, les scellés ont été levés en 2020 et les anciens occupants y sont retournés, sous la protection de certains hommes politiques connus du mohafazat de Beyrouth».
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