Le chef du Mouvement de l’indépendance, Michel Moawad, a reçu vendredi l’ambassadrice des États-Unis, Dorothy Shea, dans son bureau à Baabda.
L’entretien a tourné autour du dossier de la présidentielle. Le député a affirmé «la nécessité d'élire un nouveau président de la République, en évitant la logique de domination et d'obstruction».
M. Moawad a cité les qualifications du futur président, soulignant que ce dernier devrait être «capable de rétablir le respect de la Constitution, restaurer la souveraineté de l'État et ramener l'ordre dans les institutions». Le chef de l’État devrait être en mesure de «mettre en œuvre les décisions internationales et de délimiter les frontières, de sortir le Liban de son isolement politique et de restaurer son rôle de leader dans les milieux arabe et international». Il incomberait au nouveau président de «mener les réformes structurelles nécessaires pour conclure un accord avec le Fonds monétaire international (FMI), lequel préserverait les droits des déposants et stimulerait la croissance économique», a poursuivi M. Moawad.
L’accent a également été mis sur la crise des migrants syriens. Le député a insisté à ce propos sur la nécessité «d’éviter deux extrêmes dans ce dossier délicat: d'une part, le discours raciste à l'encontre des réfugiés, et, d'autre part, le statu quo, qui constitue un fardeau économique considérable et représente une menace sérieuse pour la sécurité et la cohésion sociale du Liban».
M. Moawad a donc appelé le gouvernement libanais à «prendre les mesures et les décisions requises pour la gestion de ce dossier crucial, au lieu de se cacher derrière des slogans populistes creux». Il a par ailleurs exhorté la communauté internationale à «assumer ses responsabilités et à adopter des approches différentes pour éviter que le Liban ne sombre davantage sous le poids du flux migratoire dont la conséquence inévitable serait une catastrophe pour tous».
L’entretien a tourné autour du dossier de la présidentielle. Le député a affirmé «la nécessité d'élire un nouveau président de la République, en évitant la logique de domination et d'obstruction».
M. Moawad a cité les qualifications du futur président, soulignant que ce dernier devrait être «capable de rétablir le respect de la Constitution, restaurer la souveraineté de l'État et ramener l'ordre dans les institutions». Le chef de l’État devrait être en mesure de «mettre en œuvre les décisions internationales et de délimiter les frontières, de sortir le Liban de son isolement politique et de restaurer son rôle de leader dans les milieux arabe et international». Il incomberait au nouveau président de «mener les réformes structurelles nécessaires pour conclure un accord avec le Fonds monétaire international (FMI), lequel préserverait les droits des déposants et stimulerait la croissance économique», a poursuivi M. Moawad.
L’accent a également été mis sur la crise des migrants syriens. Le député a insisté à ce propos sur la nécessité «d’éviter deux extrêmes dans ce dossier délicat: d'une part, le discours raciste à l'encontre des réfugiés, et, d'autre part, le statu quo, qui constitue un fardeau économique considérable et représente une menace sérieuse pour la sécurité et la cohésion sociale du Liban».
M. Moawad a donc appelé le gouvernement libanais à «prendre les mesures et les décisions requises pour la gestion de ce dossier crucial, au lieu de se cacher derrière des slogans populistes creux». Il a par ailleurs exhorté la communauté internationale à «assumer ses responsabilités et à adopter des approches différentes pour éviter que le Liban ne sombre davantage sous le poids du flux migratoire dont la conséquence inévitable serait une catastrophe pour tous».
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