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- L'Iran aurait donné son feu vert à l'attaque
©Photo AFP
Selon le Wall Street Journal, qui se base sur des entretiens avec de hauts responsables du Hamas et du Hezbollah, des responsables politiques et sécuritaires iraniens auraient aidé à planifier l’offensive du Hamas contre Israël.
Les officiels iraniens auraient donné le feu vert à l’opération militaire lors d’une réunion à Beyrouth, après avoir minutieusement préparé les détails de l’attaque depuis le mois d’août avec le Hamas. Selon le journal, les Pasdrans auraient planifié une stratégie d’encerclement d’Israël, comprenant l’ouverture de fronts au Nord (Hezbollah) et au Sud (Jihad islamique et Hamas).
Le porte-parole de la diplomatie iranienne a nié lundi ces accusations, affirmant qu’elles étaient «fondées sur des motifs politiques» et rappelant que l’Iran n’intervenait pas «dans les prises de décisions d’autres nations». La mission permanente de l’Iran aux Nations unies a souligné que l’Iran «n’était pas impliqué dans la réponse de la Palestine», en réponse aux informations publiées par le Wall Street Journal.
Pour le ministère des Affaires étrangères iranien, il s’agit d’une tentative de «détourner l’opinion publique de la lourde défaite» d'Israël et de «justifier une prochaine action d’Israël hostile à la République islamique».
Le Hamas, lui, a démenti ces informations, réitérant que le groupe avait planifié les attaques «de manière indépendante».
À la suite de l’attaque menée par le Hamas samedi, le président iranienl Ibrahim Raïssil avait déclaré «soutenir la légitime défense de la nation palestinienne», tandis que plusieurs centaines de personnes avaient manifesté dans plusieurs grandes villes iraniennes, brûlant des drapeaux israéliens et tirant des feux d’artifice.
Les officiels iraniens auraient donné le feu vert à l’opération militaire lors d’une réunion à Beyrouth, après avoir minutieusement préparé les détails de l’attaque depuis le mois d’août avec le Hamas. Selon le journal, les Pasdrans auraient planifié une stratégie d’encerclement d’Israël, comprenant l’ouverture de fronts au Nord (Hezbollah) et au Sud (Jihad islamique et Hamas).
Le porte-parole de la diplomatie iranienne a nié lundi ces accusations, affirmant qu’elles étaient «fondées sur des motifs politiques» et rappelant que l’Iran n’intervenait pas «dans les prises de décisions d’autres nations». La mission permanente de l’Iran aux Nations unies a souligné que l’Iran «n’était pas impliqué dans la réponse de la Palestine», en réponse aux informations publiées par le Wall Street Journal.
Pour le ministère des Affaires étrangères iranien, il s’agit d’une tentative de «détourner l’opinion publique de la lourde défaite» d'Israël et de «justifier une prochaine action d’Israël hostile à la République islamique».
Le Hamas, lui, a démenti ces informations, réitérant que le groupe avait planifié les attaques «de manière indépendante».
À la suite de l’attaque menée par le Hamas samedi, le président iranienl Ibrahim Raïssil avait déclaré «soutenir la légitime défense de la nation palestinienne», tandis que plusieurs centaines de personnes avaient manifesté dans plusieurs grandes villes iraniennes, brûlant des drapeaux israéliens et tirant des feux d’artifice.
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