Sur instructions du Premier ministre sortant, Najib Mikati, le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, a chargé le représentant permanent du Liban auprès des Nations unies de déposer une plainte devant le Conseil de sécurité de l’ONU, datée du jeudi 15 février, contre Israël.
Cette plainte officielle fait suite à la série d’attaques meurtrières de l’armée israélienne, la veille (le 14 février), contre des cibles civiles à Nabatiyé. Ces frappes sont considérées «les plus meurtrières» depuis le 8 octobre, date d’entrée en guerre du Hezbollah contre Israël.
Au lendemain de la frappe israélienne sanglante, Najib Mikati, avait vivement condamné, une «agression persistante d'Israël contre le Liban-Sud».
Quid du contenu de la plainte ?
Le texte de la plainte qui détaille l'attaque et ses conséquences, met surtout en exergue «la violation du droit international humanitaire qui garantit la protection des civils» qualifiant «le bombardement israélien délibéré et direct de civils à leur domicile comme un crime de guerre qui engage la responsabilité internationale de tous ceux qui y ont participé directement ou indirectement».
Il s'agit également comme le stipule le texte d’«une violation de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Liban, ainsi que de toutes les résolutions des Nations unies qui exigent qu'Israël cesse ses violations de la souveraineté libanaise et mette fin à son occupation du territoire libanais, y compris la résolution 1701» du Conseil de sécurité qui a notamment mis fin à la guerre entre le Hezbollah et Israël en 2006.
«Il est inquiétant que cette escalade survienne au moment où les efforts internationaux s'intensifient et où la diplomatie s'active en coulisses pour que le calme puisse prévaloir à la frontière sud. Le Liban qui rejette la guerre et qui a présenté une feuille de route pour une sécurité durable au Liban-Sud, exhorte la communauté internationale à faire pression sur Israël pour qu'il mette fin à son agression continue», souligne le texte de la plainte.
Celle-ci appelle les membres du Conseil de sécurité à «condamner collectivement les attaques israéliennes contre le Liban pour éviter que la situation ne se détériore et que la guerre ne s'étende».
Cette plainte officielle fait suite à la série d’attaques meurtrières de l’armée israélienne, la veille (le 14 février), contre des cibles civiles à Nabatiyé. Ces frappes sont considérées «les plus meurtrières» depuis le 8 octobre, date d’entrée en guerre du Hezbollah contre Israël.
Au lendemain de la frappe israélienne sanglante, Najib Mikati, avait vivement condamné, une «agression persistante d'Israël contre le Liban-Sud».
Quid du contenu de la plainte ?
Le texte de la plainte qui détaille l'attaque et ses conséquences, met surtout en exergue «la violation du droit international humanitaire qui garantit la protection des civils» qualifiant «le bombardement israélien délibéré et direct de civils à leur domicile comme un crime de guerre qui engage la responsabilité internationale de tous ceux qui y ont participé directement ou indirectement».
Il s'agit également comme le stipule le texte d’«une violation de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Liban, ainsi que de toutes les résolutions des Nations unies qui exigent qu'Israël cesse ses violations de la souveraineté libanaise et mette fin à son occupation du territoire libanais, y compris la résolution 1701» du Conseil de sécurité qui a notamment mis fin à la guerre entre le Hezbollah et Israël en 2006.
«Il est inquiétant que cette escalade survienne au moment où les efforts internationaux s'intensifient et où la diplomatie s'active en coulisses pour que le calme puisse prévaloir à la frontière sud. Le Liban qui rejette la guerre et qui a présenté une feuille de route pour une sécurité durable au Liban-Sud, exhorte la communauté internationale à faire pression sur Israël pour qu'il mette fin à son agression continue», souligne le texte de la plainte.
Celle-ci appelle les membres du Conseil de sécurité à «condamner collectivement les attaques israéliennes contre le Liban pour éviter que la situation ne se détériore et que la guerre ne s'étende».
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