Le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a affirmé que toutes les tours de contrôle situées à la frontière libano-syrienne sont situées sur le territoire libanais et servent à contrôler le trafic d’armes, de marchandises, de personnes et de drogue.
Rappelons que ces tours ont été érigées il y a dix ans avec l’aide du gouvernement britannique et sont gérées par l’armée libanaise.
Dans un communiqué publié dimanche, le chef FL s’étonne que le gouvernement syrien ait protesté contre le Liban, affirmant que les tours menacent la sécurité nationale de la Syrie. Il a aussi rappelé que les intentions du régime syrien restent hostiles envers le Liban, rappelant aux Libanais qui sont de connivence avec ce régime d’arrêter d’agir contre l’intérêt de leur pays.
«De quelle sécurité et de quelle souveraineté parle le gouvernement» syrien, évoquant les milices et les armées étrangères sur son territoire, poursuit M. Geagea.
Il a rappelé qu’il est du droit du Liban d’établir ces tours sur son territoire et qu’il est fort probable «que ce qui a le plus dérangé le régime syrien soit la surveillance du trafic de drogue, étant donné qu’il est devenu le plus grand trafiquant de drogue de la région, voire du monde, comme en attestent les affrontements quotidiens à la frontière syro-jordanienne».
Rappelons que ces tours ont été érigées il y a dix ans avec l’aide du gouvernement britannique et sont gérées par l’armée libanaise.
Dans un communiqué publié dimanche, le chef FL s’étonne que le gouvernement syrien ait protesté contre le Liban, affirmant que les tours menacent la sécurité nationale de la Syrie. Il a aussi rappelé que les intentions du régime syrien restent hostiles envers le Liban, rappelant aux Libanais qui sont de connivence avec ce régime d’arrêter d’agir contre l’intérêt de leur pays.
«De quelle sécurité et de quelle souveraineté parle le gouvernement» syrien, évoquant les milices et les armées étrangères sur son territoire, poursuit M. Geagea.
Il a rappelé qu’il est du droit du Liban d’établir ces tours sur son territoire et qu’il est fort probable «que ce qui a le plus dérangé le régime syrien soit la surveillance du trafic de drogue, étant donné qu’il est devenu le plus grand trafiquant de drogue de la région, voire du monde, comme en attestent les affrontements quotidiens à la frontière syro-jordanienne».
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